Envie de tester une nouvelle recette du monde ? Envolez-vous vers l’Italie avec cette recette d’Osso bucco. C'est une recette traditionnelle italienne aussi appelée osso bucco à la milanaise. Il s’agit en fait de jarret de veau cuisiné avec des légumes, de la tomate, des épices et herbes… Bref,
Si vous cherchez un plat familiale et gourmand, l'osso bucco sera parfait. Pour réussir à la perfection, Cyril Lignac livre ses conseils.
L’osso buco ( littéralement « os troué » en français) est un plat traditionnel milanais, très parfumé, constitué d'un ragoût de rouelles de jarret de veau, braisé au vin blanc sec , accompagné de légumes (carottes, tomates et poireaux). Connu depuis le XVIIIe siècle comme l'un des plats typiques lombard, il est attesté en France
Vous avez déjà goûté à l'osso-bucco de veau à l'Italienne ? C'est une savoureuse recette de plat mijoté, avec des rondelles de jarret de veau avec os, revenues à l'huile d'olive et mijotées dans une sauce tomate avec des carottes et du vin blanc. Contrairement à d'autres morceaux de viande à mijoter, le jarret n'est
osso bucco de veau, tomates concassées, carotte, oignon, ail, vin blanc sec, bouquet garni, farine, huile, sel et poivre
Spécialité italienne, l'osso bucco se compose de jarrets de veau, de sauce tomate et de vin blanc sec. À servir avec un risotto onctueux ou un plat de spaghettis.
L'osso bucco de veau est une recette traditionnelle italienne aussi appelée osso bucco à la milanaise, mais il est aussi dans le top 10 des plats préférés des français. Très parfumé, ce plat est constitué de rouelles de jarret et agrémentés de légumes, il constitue un plat familliale par excellence :)
Servi avec des tagliatelles à l'ail confit et aux herbes, cette recette d'osso buco signée Philippe Etchebest sent bon l'Italie ! Un plat généreux et réconfortant, idéal pour régaler les grandes tablées et mettre tout le monde d'accord lors des repas de famille.
jarret de veau, pulpe de tomate, oignon, carotte, ail, citron, céleri, persil, feuille de laurier, vin blanc, farine, bouillon de volaille, huile d'olive, poivre, sel
Osso bucco de veau ;) Source : Recette ideal.fr
Départ pour l'Italie avec cette recette d'Osso Buco à la Milanaise ! Un plat facile à réaliser avec des produits surgelés de qualité !
CUISSON : 2h PRÉPARATION : 30 minutes Ingrédients (pour 6 pers.) : 6 tranches de jarret de veau avec os 1 carotte 1 oignon 60 g de beurre 50 g de farine 10 cl de vin blanc 1 boite de tomates pelées en morceaux 40...
Veal osso buco Milanese, a traditional Italian recipe for veal shanks slow cooked into a flavorful broth and finished with a pan sauce and gremolata.
Redécouvrez les classiques italiens avec une touche française grâce aux recettes inventives de Cyril Lignac, le chef adoré des Français.
Plat italien réalisé avec des jarrets de veau, l'osso bucco signifie "os troué". Pour un repas convivial, il est plutôt simple à préparer en cocotte et fera à l'heure du repas, le bonheur de toute la famille.
jarret de veau, pulpe de tomate, oignon, carotte, ail, citron, céleri, persil, feuille de laurier, vin blanc, farine, bouillon de volaille, huile d'olive, poivre, sel
Osso Bucco, in Italian means“Bone with a Hole”. Veal shanks, or Oxtail is seared and then braised in a sauce with red wine, herbs and beef stock. The meat is super...
This fall-off-the-bone osso buco is packed with winter flavours with its long braising time. A true Italian classic!
Literally translated to “off the bone”, Osso Buco is a traditional northern Italian stew that celebrates the impossible tenderness of crosscut veal shank.
This tasty slow cooker osso buco is an incredibly tasty dish that gets better the longer you cook it.
Can't find veal shanks? Try using pork instead! This slow braised pork osso bucco recipe is exactly what a pork shank needs and you'll still get those traditional osso buco flavors.
Osso buco traditionnel. Recette facile accompagné d'un risotto à la milanaise.
Recipe VIDEO above. Meltingly tender veal shanks slow cooked in a tomato sauce, a classic Italian dish! This is traditionally served with Risotto Milanese (saffron risotto) but is also terrific over mashed potato, polenta and even pasta. Gremolata is also served with Osso Buco and it provides a fantastic freshness to contrast with the richness of this dish.
jarret de veau, carotte, oignon, beurre, farine, vin blanc, tomates pelées, fond de veau, laurier, thym, sel gris, poivre du moulin
Mars 2018 ... Il neige sur Cannes ... ... et ça tient plutôt bien ... On n'est pas habitué à cela, chez nous ...Alors on reste bien au chaud ! Même les oiseux de notre salle de rééducation arborent leurs plus belles écharpes et leurs plus douillets bonnets ! ;-) On réchauffe la maison en faisant rôtir de bons légumes d'hiver dans le four ... ... que l'on parfume de têtes d'ail fumé ! On assaisonne d'un peu d'huile d'olive, d'une giclée de sirop d'érable, d'une pincée de fleur de sel. On se réchauffe en donnant quelques vigoureux tours de moulin à poivre. De tous ces légumes-là, c'est incontestablement la carotte noire que je préfère. Ainsi rôtie, elle semble brûlée mais il n'en est rien. Elle est au contraire incroyablement sucrée et délicate ... Presque caramélisée, en fait. On profite de la chaleur du four pour essayer la terrine conseillée par Marina Paprika ... Prête en deux temps, trois mouvements, elle fera, quelques jours plus tard, de merveilleux apéritifs ! N"ayez pas peur de la laisser, couverte d'un film alimentaire, attendre au réfrigérateur. C'est à cinq ou six jours qu'elle a été la meilleure. Terrine de Campagne piquée à Marina ! ;-) Ingrédients pour une grande terrine: - 1 kg de farce à tomates (de bonne qualité, achetée, sur les conseils de Marina, chez Grand Frais) - 2 blancs de poulet, coupés en touts petits dés - 2 gousses d’ail hachées - 2 échalotes ciselées - 2 œufs entiers - 10 cl de whisky - thym frais, persil ciselé, sel (si besoin) et poivre du moulin. - Feuilles de laurier fraîches à placer sur la terrine avant cuisson Préparation : Placez dans un grand saladier tous les ingrédients. Assaisonnez bien. Une terrine fade, ce n'est pas bon du tout. Comme vous ne saurez pas comment est assaisonnée votre farce, prélevez-en un peu (le porc cru est vecteur de parasites qu'il vaut mieux ne pas héberger ! ) et plongez cette boulette dans une casserole d'eau bouillante. Après quelques minutes d'ébullition, vous pourrez goûter et juger de l'assaisonnement qu'il faut y ajouter.Mélangez bien tous vos ingrédients. Je suis d'accord avec Marina, des mains propres et humides seront votre meilleur instrument ! Lorsque le mélange est homogène, tassez-le dans une terrine légèrement huilée. Lissez le dessus, placez vos feuilles de laurier en les enfonçant légèrement et enfournez à 180°C pour environ 45 minutes. Merci Marina, je referai ! Puisque l'on est dans les terrines, je vous en montre d'autres. Celles-ci sont des terrines de sanglier à l'armagnac et aux noisettes. Le papa de Virginie, ma patiente, nous a livré une grande cocotte de sanglier tendrissime et délicieux déjà paré et découpé en petits morceaux. Je l'ai transformé en une multitude de petits pâtés qui seront parfaits pour nos apéritifs à venir. La recette vient du site de la Ferme de Villars. Les Petites Terrines de Sanglier ... Ingrédients pour 2 kg de farce : - 1kg de viande de sanglier , - 400 g d'échine de porc - 400 g de poitrine de porc fraîche grasse et non fumée, sans os - 200 g de foie de porc, - 2 cuillerées à café de maïzena - 1 gros oeuf - une giclée d'armagnac - des noisettes torréfiées et grossièrement concassées - Sel, poivre, - des baies de genièvre - Une feuille de laurier par pot de 500 g Préparation : 1. Désossez et conservez la viande de sanglier. Hachez la viande de sanglier et de porc avec la grille à gros trous de la machine à hacher. Faites-vous aider si besoin ... Réservez. 2. Faites revenir le foie de porc 5 minutes dans un peu d'huile de tournesol. Épongez-le, coupez-le en morceaux et hachez-le également. Réservez. 3. Écrasez les baies de genièvre avec le plat d'un gros couteau. 4. Délayez la maïzena dans un peu d'eau. 5. Mélangez toutes les viandes, les noisettes, les baies de genièvre, la maïzena diluée, l'armagnac, l'œuf entier, le sel et le poivre dans un grand récipient de cuisine. Vérifiez l'assaisonnement (utilisez la même technique que dans la terrine précédente si la trichinose n'est pas votre amie !) et rectifiez si nécessaire. 6. Remplissez les bocaux propres et secs jusqu'à 2 cm du bord en faisant bien attention à ne pas salir le bord supérieur des pots. Tassez bien. Déposez sur le dessus de la viande une feuille de laurier et un brin de thym, placez les opercules puis vissez les couvercles. 7. Placez un torchon plié au fond de votre cocotte-minute. Il protègera vos bocaux de chocs éventuels. Installez vos bocaux et calez-les avec d'autres torchons. Remplissez d'eau à température ambiante, jusqu'à environ 3cm au-dessus des pots. Fermez la cocotte et laissez cuire une heure (le bouchon de votre cocotte doit tourner doucement). 8. Laissez retomber la pression naturellement puis ouvrez la cocotte. Laissez refroidir les bocaux dans l'eau. Quand vous les sortez, dévissez les couvercles et assurez-vous que les opercules sont bien scellés aux pots. Essuyez les bocaux. C'est tout ! Ah, si, encore une chose : Laissez-les reposer pendant un bon mois avant de les goûter ! Tout aussi réconfortant par temps froid qu'une bonne terrine, voici le cake aux fruits confits de ma maman ... Je vous en redonne la recette ... Le Cake de Lala ... Ingrédients : - 250 g de farine T 45 - 175 g de beurre - 150 g de sucre en poudre - 4 gros œufs - 1 pincée de sel - 1 sachet de levure chimique - 100 g de raisins secs - 200 g de fruits confits coupés en dés - 100 g de cerises confites Du rhum, pour imbiber votre cake à la sortie du four. Préparation : 1. Préchauffez votre four à 150°C. Dans le bol de votre processeur, battez le sucre en poudre avec le beurre mou. Quand le mélange est jaune pâle et aérien, ajoutez les œufs un par un, en battant bien entre chaque adjonction. Ajoutez enfin la farine, le sel et la levure que vous aurez tamisés ensemble. Mélangez encore. Terminez en ajoutant les raisins secs et tous les fruits confits. Pour éviter que ces derniers ne tombent au fond du cake, je vous donne l'astuce de Mary Berry : Elle rince ses fruits confits à l'eau bouillante et elle les sèche entre deux feuilles de Sopalin avant de les incorporer dans le gâteau. Ça marche plutôt bien, en fait ... 2. Versez la pâte obtenue dans un moule à cake bien beurré. Enfournez pour 30 minutes à 150°C puis une heure à 175°C. 3. À la sortie du four, avant de le démouler, arrosez le gâteau de rhum. Pour la quantité ... c'est vous qui voyez ... ;-) Démoulez quand le cake est tiède ...et dégustez-le avec une tasse de thé brûlant ! Encore quelques nourritures "confortables" pour ces temps perturbés et glaciaux ? Ce poulet rôti à l'estragon est assurément pour vous ! Poulet rôti à l'Estragon ... Pas vraiment de recette mais quelques explications. C'est ainsi que je préfère faire la cuisine ... ;-) Vous découpez votre poulet pour le mettre "en crapaudine". Pour ce faire, vous placez votre poulet devant vous. Avec votre cisaille à volailles, vous découpez votre bestiole de chaque côté de la colonne vertébrale. Vous retirez celle-ci, vous retournez le poulet et vous l'écrasez d'une bonne claque pour l'aplatir sévèrement ! ;-) Après quoi, si tout va bien, vous obtenez ça ! Vous le mettez à rôtir dans un plat, posé sur un lit d'oignons émincés légèrement huilés. Vous salez, vous poivrez et vous enfournez pour une petite heure. Quand il est bien doré, vous le retirez du plat et vous le découpez sur une planche. Pendant ce temps, vous posez votre plat à rôtir sur le feu, vous dégraissez un peu la sauce. Vous déglacez avec de la crème fraîche et vous incorporez à l'ensemble une belle poignée d'estragon frais ciselé. Vous laissez infuser un peu, puis vous couvrez vos morceaux de poulet de sauce brûlante. Vous servez avec des pâtes fraîches ... et un petit Chablis bien frais ... Les temps froids ont du bon, dans des moments comme ça. Au dessert, des Crêpes façon Suzette. Façon seulement car préparées avec un jus de clémentines fraîches sucré et enrichi d'un beau morceau de beurre ... et d'une goutte de Grand Marnier. On a fait auparavant blanchir d'autres clémentines, puis on les a laissées à mijoter dans un sirop de sucre, coupées en six, pendant une petite demi-heure, le temps que le sirop se concentre. Au moment de servir, on passe les crêpes dans le jus brûlant. On les roule ou bien on les replie en quatre, c'est comme on préfère ... On les couvre de morceaux de clémentines confites. On nappe du reste du jus et on décore de quelques belles feuilles de menthe. C'est simple et c'est bon. Que demander de plus ? Comme je vous le disais il y a un instant, mon tour au marché Forville, le samedi, l'est un des fondamentaux de ma semaine. Café-croissant et balade parmi les légumes nouveaux ... il n'en faut pas plus à mon bonheur ! Quand j'arrive un peu tôt, il y a encore des pêcheurs. La pêche n'est pas immense ... ... mais le poisson ultra-frais donne faim ! Dommage que joli Bounty ne puisse pas aller y faire un tour ! Il adore le poisson et, pauvre biquet, je ne lui ramène que des pots d'herbe à chat ! Tant pis, il attendra le dîner ! Premier dîner et première rencontre avec Grand-Père Jean et Engracia, tout juste arrivés de Mexico. Très belle rencontre. Ces trois-là s'entendront à merveille. Bounty aime quand on dresse le couvert sur la grande table. Il sait qu'il risque de se régaler ... Bon, les autres soirs aussi, il participe au dîner ! ;-) Mon papa aime les voyages en France. Il replonge instantanément dans ses racines : Sauciflard et pastis, un combo toujours gagnant. Et que de bons souvenirs ! ;-) Croissants et pains au chocolat à tous les petits-déjeuners. Merci la Chaumière ! On descend tous ensemble au marché. Le choix des produits est important. Le traditionnel déjeuner à la Piazza, sur le Vieux Port. Depuis que les enfants sont petits, ils réclament à leur grand-père la Piazza pour déjeuner. Je ne compte plus le nombre de repas qu'ils ont pris là-bas ! On picole bien, quand mon papa vient nous voir ! ;-) À chaque visite, on se déporte une journée durant sur l'île Saint-Honorat. On grimpe dans le bateau des îles dans la matinée ... ... et on laisse le continent derrière nous pour quelques heures. La balade en bateau est toujours agréable. En route pour le pays des moines de Lérins ! Il y a pas mal de mer, aujourd'hui. Mais le soleil tape et la vie est belle ! Un bref arrêt à Sainte-Marguerite pour aller cueillir une grosse brassée d'écoliers endiablés ... ... et nous voilà très vite à Saint-Honorat. Comme l'heure du déjeuner approche, nous décidons d'aller prendre une table tout de suite dans la véranda accueillante du restaurant La Tonnelle. Un restaurant géré par les moines, qui en tirent quelques bénéfices directement réinjectés dans la vie du monastère. On y mange très bien, à la Tonnelle. Les olives baignées de pesto de l'apéritif sont excellentes. Avec un verre de Saint-Eucher, l'un des vins élevés par les moines, c'est une entrée vers le Paradis ! La soupe de poisson est l'entrée du menu à 34 €. Copieuse et délicieuse, c'est une parfaite entrée en matière. Le saumon grillé aux trofie, courgettes et pesto, est superbe ! Une simplicité monacale mais des parfums francs et équilibrés. De quoi nourrir les anges ... Un dessert à base d'amandes et de figues ... Ou bien la classique tarte au citron meringuée ... Enfin, pas si classique que ça puisque se niche au centre de la crème au citron très acidulée ... ... un insert de ... pistou ! Juste fantastique ! Après cet intermède savoureux, une promenade s'impose pour tout le monde. On est en semaine et les allées de l'île sont presque désertes. Marcher sous les oliviers centenaires a quelque-chose de magique. Longer les vignes ... ... entretenues par les moines est assez magique aussi ... Saint-Antoine de Padoue veille sur les visiteurs ... ... et sur Fifine Pinpin ! ??? 😉 Un peu de repos sur un banc ... Quelques discussions, aussi ... ... et il est temps de repartir vers le monastère. L'endroit est béni des dieux, c'est sûr. Le dépaysement est étonnant. Nous ne sommes qu'à une quinzaine de minutes de l'une des villes les plus touristiques du monde, quand même ! Un enchantement ! Un petit tour dans l'église ... Grace et mon papa bavardent un petit moment avec un moine ... En route maintenant vers le vieux monastère fortifié ... ... à juste quelques pas de là. Élevé en 1073 pour protéger les moines des pirates sarrasins, les religieux y vécurent jusqu'en 1788. Il en reste de merveilleux éléments architecturaux au milieu desquels il est vraiment reposant de déambuler ... Le vieux monastère a les pieds dans l'eau. Il se fait tard et il ne faudrait pas manquer la dernière navette ... On se rapatrie donc vers l'embarcadère. La lumière est incroyable et magique. De retour sur la terre ferme, nos Mexicains ont soif. Surtout mon papa qui boirait bien une bonne bière. ;-) Après maintes hésitations ... ... nous trinquons lui et à moi à la Guinness. À défaut d'une cirrhose, j'aurai à la fin du séjour une tendinite du coude, c'est sûr ! ;-) Fin de la journée dans la rue d'Antibes, avec un joli coucher de soleil au-dessus du Suquet. Le lendemain, il fait beau. Bounty est donc heureux, lui qui ne rêve que de se faire dorer la pilule au soleil ! On prend la route pour l'Italie. Par la basse corniche. L'occasion de s'arrêter plusieurs fois en chemin ... ... pou admirer des panoramas époustouflants ! On termine notre périple à Vintimille. Il fait très beau ... Du soleil, pas de vent. C'est le bonheur ! Nous déjeunerons au Marco Polo, sur le bord de mer. Le menu de midi est toujours une belle affaire. Les produits sont frais et les plats, délicieux. Clem se fait maître d'hôtel pour expliquer la carte à Engracia ! Pendant ce temps, de beaux plats de poissons crus ... ... puis cuits ... passent devant nous. La carte des vins est longue et intéressante. On opte pour un Vermentino local, sec, léger et parfumé. Le saumon tiède de l'entrée est toujours aussi bon ... Quant à la salade de poissons fumés (du thon et du maquereau, je crois bien, tous deux très moelleux et pas trop salés ...) , elle est copieuse et divine. Une belle assiette de lasagnes aux petits artichauts poivrades satisfait tout le monde. Grand-Père Jean mange de bon appétit ... Nous passons tous un excellent moment. Un petit tiramisu très parfumé pour le dessert ... Un excellent café servi avec une petite madeleine tout juste sortie du four ... ... et nous voilà prêts à repartir. Marcher le long de la mer est toujours un moment de félicité ... Sur le chemin de la maison, on s'arrête à Nice, au niveau de la place Saint-François, pour retrouver Paulo qui avait cours à la fac, aujourd'hui. On en profite pour essayer l'"aperitivo" du restaurant "Paneolio", le long du Paillon. Pour 6 €, on a droit, mais seulement en début de soirée, à un cocktail et à un buffet de petites choses à grignoter. Nous sommes des habitués de ce système en Italie et je suis bien contente qu'il se déporte un peu en France ! Ce soir, la terrasse est assez bondée. On se rabat donc sur la grande salle du premier étage ... ... et on passe un très bon moment ! C'est la fin du séjour de nos Mexicains à Cannes ... ... mais nous les retrouvons quelques jours plus tard, Paul et moi, à Paris. Une visite chez la notaire est le prétexte à quelques balades sympathiques ... Paris est une belle ville en toute saison. On se retrouve tous chez maman. On trinque à sa santé. Elle est toujours avec nous 💚 ... Mon papa fait encore provision de souvenirs gustatifs ... Foie gras poêlé, champagne, fromages variés, Châteauneuf du Pape ... Il pourra ensuite retourner au Mexique, la tête pleine des saveurs de son pays. Comme à chaque fois que nous le retrouvons à Paris, une visite au Zeyer s'impose ! J'adore leur choucroute ! ;-) Mon père se régale d'un poulet rôti-purée de pommes de terre. Encore un peu de marche ... J'ai beau très bien connaître Paris, il y a toujours, au fil de mes promenades, un endroit que je découvre. Je pousse inlassablement les portes des immeubles et souvent, de belles surprises se nichent au fond des cours ... Un petit tour à Drouot s'impose. J'aime l'ambiance un peu survoltée des salles des ventes ! Je laisse une adresse, en passant, aux amateurs de burgers. Moutarde Street, sur le boulevard des Italiens. À l'heure à laquelle nous arrivons, il n'y a plus grand monde et l'on est servi vite. La serveuse est aimable, ce qui ne gâche rien. Le burger à la viande de Paul est, paraît-il, délicieux. Quant au mien, le "fish and chips burger", il est remarquable. Mais bien trop gros pour moi. Paulo se régalera de la seconde moitié. Frite délicieuses et cole slaw vraiment très bon. Un bel ensemble ... pour pas très cher ! Je termine avec un petit café gourmand servi accompagné d'une salade de fraises et d'un mini-cheesecake à la fraise lui aussi ... Fin de ce séjour parisien ... L'occasion de se replonger dans les souvenirs ... L'occasion de retomber sur des photos anciennes ... très anciennes ... ... ou un peu moins ! :-) Se retourner sur son passé, ça "fait bizarre", des fois ! Et c'est émouvant, en tout cas ... Dimanche des Rameaux ... On prend la voiture et on roule jusqu'à Nice ... Devant le monastère de Cimiez, exactement. J'adore voir les vieilles dames tresser les branches de palmier. Quelle adresse ! C'est aujourd'hui, dans le jardin des Arènes de Cimiez, ... ... la Fête des Cougourdons. On l'appelle aussi Festin des Cougourdons. Festin, ici, ce n'est pas synonyme de ripailles mais plutôt de fête bon enfant, avec à manger, certes, mais aussi beaucoup de danses et de jeux de toute sorte. Les producteurs de cougourdons du coin sont là ... Les cougourdons, ce sont ces cucurbitacées que l'on appelle ailleurs calebasses. On ne les mange en général pas mais on les laisse sécher puis on les creuse. Ensuite, on les décore. Des fois, il y en a de très mignonnes ! On les transforme aussi en objets usuels. Gourdes, ustensiles de cuisine ... ou même instruments de musique. Le Vespa Cougourdon Ourchestra s'est spécialisé dans la musique faite avec ces instruments étonnants. Le fête des Cougourdons, c'est l'occasion d'affirmer les traditions niçoises. On fait de la musique ... On danse ... On se costume ... On parle niçois ... On pense niçois ... On lit niçois ... On paye même niçois ! On boit niçois ... Et forcément, on mange niçois, en famille et sur l'herbe. Ah, la socca ! Et notre pan bagnat ! Rempli de bons produits locaux ... C'est une délicatesse dont on ne peut plus se passer. Enfin, une fois seulement qu'on a goûté le vrai, bon pan bagnat !!! J'ai un gros faible pour la fougassette, aussi ... La fleur d'oranger est un des parfums que je préfère ... Vivement le mois de mai que l'on recommence, avec la fête des Mais ! ;-) On approche de Pâques. Mes patients m'ont préparé un joli tableau de Pâques en perles Hama ! ;-) Quant à moi, j'ai trouvé chez Paul un joli canard en chocolat blanc jaune pour Laurence ! 😀 Il commence à faire bien beau. Alors mes plats se font plus printaniers ... Comme ces Spaghettis aux Crevettes marinées. Là, je vous confie un secret. Ces crevettes, je les trouve déjà marinées et sous vide chez Grand Frais. Elles sont vraiment délicieuses, passées au wok ou à la plancha. Je les passe à la poêle. Quand elles sont dorées, je leur ajoute du gingembre frais râpé, des flocons de piment chipotle, du zeste de citron râpé et des feuilles de basilic. Je mélange la sauce avec les spaghetti juste égouttées à même la poêle. Un peu de bonne huile d'olive juste avant de servir et le tour est joué. Pour moi, revenir du marché les bras chargés de fruits et de légumes, c'est un grand bonheur. La promesse de festins frais et savoureux ... Ce n'est pas Bounty qui vous dira le contraire. Il adore plonger son museau dans les salades ou les bouquets d'herbes fraîches. Quoi, qu'est-ce que j'ai fait, encore ??? Je n'ai fait que les regarder, ces colombes ... Et j'ai aussi bien surveillé celle que tu as rapporté d'Italie. Mais elle ne me dit rien qui vaille, ta colombe de Pâques ! Fabrique m'en une pareille en steak haché et là, c'est sûr, je la croquerai ! ;-) Comme vous avez pu le constater sur l'image précédente, nous sommes donc aujourd'hui le dimanche de Pâques. Ce mignon agneau en massepain, c'est d'Italie que je l'ai rapporté. Tout comme la colombe. En ce qui concerne cette dernière, je préfère mille fois celle que je fais moi-même. Comme quoi c'est un peu bête d'être flemmarde ! ;-) Si vous en voulez la recette, elle est par là, tout à la fin d'un billet romain. Ah, que de jolis souvenirs ! Mais pour l'instant, je vous emmène ... ... ou plutôt, Philippe nous emmène ... sur l'île Sainte-Marguerite. Il a un bon matelot. La traversée est idyllique, sur fond de ciel bleu et de montagnes enneigées. Au loin, une régate de 505. On arrive sur l'île ... Je pose mes sacs. Un chat plutôt sauvage me pique un pain et se couche dessus, en en dévorant un quart au passage. Il doit être affamé, le pauvre, pour dévorer ainsi un pain au pavot ! Avant que nos invités n'arrivent, j'ai juste le temps de dresser la table. Une vraie table de Pâques ... ... dans une nature exceptionnelle. De la verdure, des oeufs de Pâques ... Des amis sympathiques. Toute une jeunesse brillante et rigolote à la fois. Notre sommelier s'apprête à ouvrir les magnums de Prosecco. On est des Prosecco addicts, dans la région ! ;-) Allez, on commence ? Trinquons, d'abord ! À notre chance d'être ici tous ensemble ! Prenons place autour de la table, parmi les poules et les lapins. Les grandes tablées, j'adore ça ! Nous avons de la chance, d'être entourés de gens qui aiment vivre un peu comme nous ... De gens qui aiment bien manger, aussi ! Ouh la la qu'on est bien, sous ce soleil de printemps ! On se sent revivre ! Cela vous dirait, de connaître le menu du jour ? Un menu plutôt cool ... On commence par une fougasse divine. une recette de l'Australienne Katie Quinn Davies, dans son livre "What Katie ate at the weekend". Fougasse aux Oignons caramélisés, Fenouil et Tomates ( à déguster trempée dans de la très bonne huile d’olive) Ingrédients pour 8 personnes : - 7 g de levure sèche instantanée - 2 pincées de sucre - 450 g de farine T 55 - 2 cuillerées à café de sel fin - 4 oignons rouges coupés en tranches fines - 1 ½ cuillerées à soupe de sucre roux - 4 cuillerées à soupe de vinaigre balsamique - 2 cuillerées à café de graines de fenouil - 250 g de tomates cerises coupées en deux - 80 ml d’huile d’olive + un peu pour badigeonner la fougasse - Sel fin Préparation : 1. Mélangez la levure, le sucre, le sel, 2 cuillerées à soupe d’huile d’olive et 320 ml d’eau tiède dans un récipient, puis réservez 5 minutes dans un endroit chaud pour obtenir une consistance mousseuse. 2. Tamisez la farine dans un saladier et ajoutez une cuillerée à soupe de sel. Faites un puits au centre, versez la levure et mélangez. 3. Posez cette pâte sur une surface légèrement farinée et pétrissez-la dix minutes pour qu’elle devienne lisse et élastique. Mettez-la dans un saladier enduit d’un peu d’huile d’olive et couvrez d’un torchon. Réservez une heure dans un endroit tiède, ou jusqu’à ce qu’elle ait doublé de volume. 4. Pendant ce temps, faites chauffer le reste d’huile dans une poêle à feu moyen. Faites fondre les oignons 12 à 15 minutes en remuant souvent, puis ajoutez la cassonade et le vinaigre balsamique. Poursuivez la cuisson 7 à 10 minutes en remuant toujours pour que l’oignon caramélise et que tout le liquide soit évaporé. Retirez la casserole du feu. 5. Dégonflez la pâte avec le poing. Remettez-la sur la surface farinée et pétrissez-la encore une à deux minutes. Étalez-la en un rectangle grossier puis recouvrez-le uniformément avec l’oignon caramélisé. Saupoudrez de graines de fenouil (gardez-en un peu pour décorer). Rabattez délicatement la pâte sur elle-même à plusieurs reprises, de façon à ce que la plus grande partie des oignons soit incorporée. Si la pâte devient trop collante, rajoutez un peu de farine. 6. Mettez la fougasse sur la plaque, couvrez d’un torchon et réservez 20 minutes dans un endroit chaud, à l’abri des courants d’air. Avec un doigt, creusez des fossettes dans la pâte, puis pressez-y délicatement les moitiés de tomates. Brossez avec pas mal d’huile et saupoudrez du reste des graines de fenouil. Assaisonnez de quelques bonnes pincées de sel. Faites cuire pendant 20 à 25 minutes, jusqu’à ce que la fougasse soit cuite et dorée. Servez tiède ou à température ambiante. Je vous en offre un petit bout ? La pièce maîtresse du repas sera cet agneau très tendre et très parfumé, à la saveur légèrement acidulée. Une recette sortie du magazine BBC Goodfood. Agneau de Huit Heures rôti à la Persane, à servir avec des pitas épaisses ou du pain arabe ... Ingrédients : - 4 cuillerées à soupe de mélasse de grenade - 1 cuillerée à café de cumin moulu - Le jus d’un citron - 1 cuillère à soupe d'huile d'olive - 2 gousses d'ail hachées - 3 oignons, hachés grossièrement - 1 gigot d'agneau d’environ 1,8 kg, légèrement entaillé Des pains plats, pour servir Préparation : 1. Préchauffez le four à 160 ° C. 2. Dans un petit bol, mélangez la mélasse de grenade avec le cumin, le jus de citron, l'huile d'olive et l'ail. Dispersez l'oignon dans le fond d’un plat à rôtir profond. 3. Placez l'agneau sur les oignons. Versez le mélange à la grenade sur l'agneau. Rincez le bol avec environ 200 ml d'eau, puis versez-le autour (et non sur …) l'agneau. Couvrez le plat avec un grand morceau de papier d'aluminium. Faites rôtir l'agneau, sans y toucher, pendant 3 heures, puis retirez le papier d'aluminium et continuez la cuisson pendant 30 minutes pour donner la couleur de l'agneau. À la fin du temps de cuisson, temps, récupérez les jus de cuisson, dégraissez-le à l’aide d’une cuillère et reversez le jus partiellement dégraissé sur l’agneau. Servez l'agneau avec sa sauce et quelques galettes réchauffées ou des pains plats arabes. Au cas où quelqu'un n'aimerait pas l'agneau, j'ai prévu un plat de poulet. Un régal à préparer sans hésiter. Traybake de Poulet au Citron Confit et aux Olives vertes de Mary Berry … Ingrédients pour six personnes : - 1 kg de petites pommes de terre grenailles - 3 cuillerées à soupe d’huile d’olive - 1 gros oignon coupé en morceaux - 2 gousses d’ail écrasées - 6 tranches de poitrine fumée coupées en morceaux de 1 cm - 6 cuisses de poulet, hauts de cuisse et pilons séparés - 5 citrons confits au sel - 1 ½ cuillerées à café de paprika fumé - 3 courgettes coupées en tranches épaisses - 200 g de grosses olives vertes dénoyautées - Sel et poivre noir du moulin Préparation : 1. Préchauffez le four à 220°C. 2. Placez les pommes de terre brossées dans un grand plat à rôtir avec 2 cuillerées à soupe d’huile. Mélangez pour bien les enrober. Ajoutez l’oignon, l’ail, la poitrine fumée et les morceaux de poulet. Remuez à nouveau. 3. Ajoutez les citrons confits coupés en morceaux dans le plat à rôtir. Assaisonnez bien l’ensemble et parsemez de paprika. Enfournez pour 40 minutes. 4. Dans un bol, placez les morceaux de courgettes avec le reste de l’huile. Salez et poivrez. Placez-les autour du poulet et parsemez d’olives dénoyautées. Enfournez à nouveau pour une vingtaine de minutes, le temps que le poulet et les courgettes soient bien dorés et tendres. Les deux recettes de salade qui suivent sont issues aussi du livre "What Katie ate at the weekend". Les deux sont des valeurs très, très sûres, aussi jolies que fraîches et savoureuses ... Salade de Couscous aux Pois Chiches, à la Menthe et à la Graine de Grenade Ingrédients pour 4 personnes en accompagnement : - 200 g de semoule - 100 g d’amandes effilées - 400 g de pois chiches en conserve, rincés et égouttés - 1 cuillerée à café de cumin - Le zeste finement râpé et le jus d’un citron - Les graines de deux grenades - 1 grosse poignée de menthe finement hachée - Huile d’olive - Sel de mer et poivre du moulin Préparation : 1. Faites cuire la semoule en respectant les indications du paquet. Aérez-la à l’aide d’une fourchette pour casser les petits paquets. Salez et poivrez et réservez dans un saladier. 2. Faites griller les amandes 5 minutes dans une poêle à feu moyen, jusqu’à ce qu’elles dorent légèrement. Sortez-les de la poêle et laissez-les refroidir. 3. Dans la même poêle, faites chauffer une cuillerée à soupe d’huile d’olive à feu moyen, puis ajoutez les pois chiches, le cumin, du sel et du poivre. Laissez-les revenir 8 à 10 minutes en remuant souvent, jusqu’à ce qu’ils soient croustillants. Versez le jus de citron et laissez cuire encore 1 à 2 minutes, puis versez le contenu de la poêle sur la semoule, avec les amandes grillées refroidies. Ajoutez les graines de grenade, la menthe, le zeste de citron et un bon filet d’huile d’olive. Mélangez délicatement. Rectifiez l’assaisonnement avant de servir. Salade de Farro à la Feta, au Citron et aux Pignons de Pin ... Ingrédients pour 4 personnes, en accompagnement : - 250 g de grains de farro entiers (utilisez du blé si vous ne trouvez pas de farro) - 250 g de tomates cerises coupées en quartiers - 1 piment vert long, très finement haché - 180 g de pignons de pin grillés - ½ petit oignon rouge, très finement haché - 2 gousses d’ail, très finement hachées - 1 grosse poignée de persil plat, finement haché - 1 grosse poignée de basilic, finement ciselé + quelques feuilles entières pour la décoration - 1 grosse poignée de menthe, finement hachée - 1 grosse poignée de roquette, finement hachée - 200 g de feta - Le zeste finement râpé et le jus d’un citron - 2 cuillerées à soupe d’huile d’olive - Sel et poivre noir du moulin Préparation : 1. Mettez le farro dans une casserole avec 50 cl d’eau. Couvrez et portez à ébullition, puis baissez le feu et laissez mijoter 30 minutes, jusqu’à ce que les grains soient cuits. Égouttez et rincez sous l’eau froide, puis égouttez à nouveau en éliminant le plus d’eau possible. 2. Transférez le farro dans un saladier avec les tomates, le piment, les pignons de pin, l’oignon, l’ail, les herbes et la roquette. Mélangez bien puis émiettez la moitié de la feta avant de l’incorporer. Ajoutez le zeste et le jus du citron, puis l’huile d’olive. Salez et poivrez à votre goût avant de mélanger une dernière fois. 3. Pour servir, émiettez le reste de feta sur la salade et garnissez de feuilles de basilic. Pour terminer, nos amis ont apporté d'excellents gâteaux au chocolat et aux courgettes et une belle tarte au citron. J'ai prévu quant à moi des petits carrot cakes avec un glaçage au cream cheese. Les petites carottes sont en pâte à sucre ... Les Carrot Cakes de Pâques de Rose Bakery ... Ingrédient pour un gros moule à cake : (ou une douzaine de petits cupcakes) - 4 oeufs - 225 g de sucre en poudre (1 grosse tasse) - 300 ml d'huile de tournesol (1 tasse 1/4) ... Je dois avouer que là, j'en ai mis un peu moins ... - 9 carottes moyennes épluchées et râpées (j'ai pris de belles carottes-fanes bien fraîches) - 300 g de farine - 1 cuillerée à café de cannelle en poudre - 1 cuillerée à café bombée de levure chimique - 1/2 cuillerée à café de bicarbonate de soude - 1/2 cuillerée à café de sel - 150 g de noix hachées finement Pour le glaçage : - 125 g de beurre doux bien mou - 250 g de cream cheese - 1/2 cuillerée à café d'extrait de vanille - 50 à 75 g de sucre glace Préparation : 1. Préchauffez votre four à 180°C. Beurrez et farinez un grand moule à cake. 2. Battez les oeufs et le sucre jusqu'à ce qu'ils soient mousseux. Ajoutez l'huile. Battez à nouveau. Ajoutez ensuite les carottes râpées finement, puis la farine, la cannelle, la levure, le bicarbonate et le sel. Quand tout est bien mélangez, ajoutez enfin les noix hachées. Mélangez à nouveau pour homogénéiser la pâte. 3. Versez dans le moule et enfournez pour environ 45 minutes. Testez avec la pointe d'un couteau. Vérifiez en le secouant que le gâteau se décolle bien du fond et laissez-le dans le moule jusqu'à complet refroidissement. 4. Pour faire le glaçage, battez au fouet électrique tous les ingrédients indiqués. Quand le gâteau est froid, glacez-en la surface. Un bon café pour terminer le repas. Les poulettes ont l'air satisfaites. Je pense que nos invités le sont aussi. Une fois la table débarrassée,... ... certains partent faire un tour en kayak ... Nous, on va se promener dans l'île. Mais où sont donc nos kayakistes ? Les voilà au loin ! La prochaine fois, nous ferons le tour des iles en bateau ... Mais en attendant, il nous faut rentrer. Le retour devrait être calme. Ce fut un extraordinaire dimanche pascal ... ... qui m'a donné des envies de vacances. Vivement l'été, maintenant ! À très vite ! Je vous embrasse.
Ready to sharpen your Italian cooking skills? From stuffed pasta to osso buco to pasta carbonara and gnocchi, these recipes for Italian chef dishes are the perfect practice.
Un grand classique à faire mijoter longuement pour ensoleiller l'hiver. Aussi facile à préparer que délicieux !
Milan’s gift to the culinary world, osso bucco is a slow-cooked masterpiece – made even better with Scotch Beef PGI.
Osso buco traditionnel. Recette facile accompagné d'un risotto à la milanaise.
L’os à trou, c’est une tradition possible. J’en ai fait quelquefois, sans jamais avoir été transcendé par le résultat. En fait, après quelques recherches, la version qui me semble…