The Lumper is a pile of art links, some are new discoveries and some are old favorites. The idea is to have a place that all kinds of art is promoted and enjoyed. Updated Daily.
100% ART /Isabelle Tremblay
André Brasilier, whose parents were also painters, was born in 1929 in Saumur, France. From an early age, he showed natural inclination for painting and he entered the Ecole des Beaux-Arts at the age of 20. In 1953, aged only 23, Brasilier won the Premier Grand Prix de Rome of painting. He had his first retrospective of 100 artworks from 1950-1980 at the Château de Chenonceau in 1980 and a Retrospective exhibition at the Musée Picasso-Château Grimaldi in Antibes (French Riviera) in 1988. Over the years he held numerous exhibitions all over the world: France,Germny, Japan, Switzerland, Canada, United States, Russia, The Netherland, Korea, Hong Kong… Notably, he was honoured by a retrospective exhibition of his work at Russia’s renowned Hermitage Museum in Saint-Pétersbourg in 2005 and at the Museum Haus Ludwig für kunstausstellungen in Germany in 2007. Braslier’s works often feature themes and motifs of horses, nature, music, flowers, and women. Set against the most simplistic and romantic backgrounds, he transports us easily into surreal landscapes, which lighten the soul with dreamy infusions of figures set in simplicity of colours, shape and form. In an intimate communion with nature, he draws his inspiration from its language, sounds and colours, thus revealing the natural beauty of our surroundings. Although Brasilier bases his painting on reality, he is not a realistic painter, as once explained by Bernard de Montgolfier: “One could say that Brasilier has a very personal way of being non-figurative within figuration”. Indeed, he strives to make the invisible visible again, opening the viewers’ eyes upon the non-obvious, in a relentless quest for intimate and cohesive humanism. Brasilier’s paintings clearly share little in common with the dominant voices of the time, whether it be Abstract Expressionism, Color Field Painting, Pop Art, Op Art, Photo-Realism, or any of the “isms” of the latter half of the 20th century. His work distinctly continues in the tradition of the French “intimistes”: Bonnard, Vuillard, Matisse, Raoul Dufy, Henri Lebasque, etc… Like Brasilier, the work of these artists celebrated the “intimate” realities of their domestic life… their lovers, friends, family, and children; their homes, the landscape. These personal experiences were dignified and intensified through the expressive use of color and a simplification or abstraction that sought to capture their essence. I can imagine my tied-in-the wool Romantic/Modernist studio-mate dismissing Brasilier with a wave of his hand as “ an absolute nothing”. After all… Art to him and many others (and “Art” must be spelled with a capital “A”) must be a serious purging of the soul… a profound self expression… and a form of desecration. As Barnett Newman declared, “the impulse of modern art is the desire to destroy beauty.” But I suspect Brasilier would more likely agree with Oscar Wilde: “The artist is the creator of beautiful things.” Or Anatole France: “If the path be beautiful, let us not ask where it leads.” Or Pierre Bonnard: “Draw your pleasure- paint your pleasure- express your pleasure.” There are more than a few recent and even contemporary painters who share many of the same “vision” as Brasiler. Among these we might include: Milton Avery: Elmer Bischoff: Richard Diebenkorn: André Minaux To a certain extent, Giorgio Morandi: Wolf Kahn: Jane Wilson: Jane Frielicher: Alex Katz: and Kyle Staver: Looking closely at Brasilier’s paintings, I also find that they share a common spirit with Japanese art. Undoubtedly, this explains their popularity with Japanese audiences and collectors. Brasilier admitted to this shared aesthetic: “I am absolutely not a realist painter. I only like when things are suggested, and even when they appear mysterious. I have a nature that wants to simplify. I always try to give the quintessence of a subject with little effect, to say a lot with a little, like Japanese artists who focus on asceticism and simplicity.” “I am always painting. And if I’m not in front of a canvass, I always have sheets of paper with me to take notes, and to set down ideas that come to me. I consult them later when I start a new work. Painting is my life.” -André Brasilier
Painter Thomas Woodruff's powerful, lushly dark and decadent paintings are full of macabre wonders, strange allegories that weave the troubling effects our current culture inflicts upon us with a sense of fantastical majesty in an opulent swirl of visual alchemy. These intense and intricate narratives call to mind both the symbolic botanical grandiosities of 16th Century Dutch and Flemish painters, to 20th Century Fantastic Realism.His work is reined in from becoming too self important by the slightest touch of cartoon-ishness, with glimpses of modern life interjected within surrealistic narratives, such as tattoo and body modification imagery, or the use of contemporary couture/subculture costumery. - Read Kirsten Anderson's interview with the artist after the jump.
PAINTING SARAH YOUNG PAINTING SARAH YOUNG
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Superbe rencontre de ces vacances de Pâques ... Dans sa galerie de Douarnenez ... Alexandra nous présente les œuvres de son compagnon et ... nous montre sa dernière toile ... "La figure humaine est au centre de mon travail, une figure humaine en interaction avec des éléments d’ordres divers - animal, végétal … Ces rapprochement - oppositions , ces juxtapositions et ces effacements mettent en scène un nombre limité de « lambeaux d’images », que je re-visite à chaque tableau et que je complète, d’année en année. Jumeaux, chevelures, cabanes, main gauche- main droite, ombres, ondes… Progressivement depuis quinze ans , il m’est apparu que je prenais à mon compte des choses enfouies, oubliées parfois, de l‘histoire des images, et de mon histoire sans doute aussi,; La dimension poétique d’un tableau ne m’apparait, éventuellement, qu’après coup, Dans le chantier des couleurs et des lignes, les association visuelles et le travail pictural proprement dit, retiennent toute mon attention... " " D'où vient que cette jeune artiste donne l'impression de peindre les interstices de nos tourments intimes? D'un sens à la fois primitif et bouddhiste de la fragilité de l'être humain, partie infime du cosmos, au même titre que les plantes ou les animaux. Les corps sont atomisés ou agglomérés. Siamois jusqu'à la confusion confondante. Parfois même absorbés par le néant, au-dessus de chaises vides. Les têtes sont à l'envers, encastrées dans le torse, comme des miroirs qui ne peuvent pas réfléchir davantage. A moins qu'il ne s'agisse de salutaires retournements de situation. Les mains sont plaquées sur des robes, mailles amicales ou empiècements de chairs. Coupées de leur membre directeur, caresses suspendues ou appels au secours." Marine Landrot "De cette ritournelle grave et ludique qui se déroule sous nos yeux, comme le ferait une peinture pariétale, se dégage une poésie éloquente. La couleur cerne, le trait effilé dessine, écrit, reprend et surajoute aux aplats un graphisme inducteur de sens. Mais y a-t-il un sens? Le rêve éveillé d'un cavalier, le sommeil dans les limbes, les oiseaux qui chantent dans la tête, les ramures capillaires, l'envers et l'endroit, le monde s'ouvre sur le regard intérieur." Lydia Harambourg " Les peintures, les dessins rafraîchissent l'espace. Vous êtes sous le charme, une sorte de grâce. Méfiez-vous il y a de la diablerie sous cette poétique. Ensorcelés, votre sens commun est contrarié, vos certitudes mises en péril. Vos errances, vos petits exils dans cet univers sans heurt, léger, vous parlent des liens qui sont ceux de tous les possibles..." Marie Vitoux Née en 1974 à Quimper, Alexandra Duprez vit et travaille à Douarnenez depuis de longues années. Lors d'un séjour d'un an en Australie à 17 ans, elle découvre la peinture aborigène et commence elle-même à peindre. A son retour, elle suit les cours de l'Ecole des Beaux-Arts de Quimper. Depuis 1998, Alexandra Duprez a exposé régulièrement ses peintures à la galerie Pierre Marie Vitoux à Paris. Aujourd'hui elle est représentée à Paris par la galerie Duboys.Des collaborations avec d'autres galeries suivront à Bruxelles notamment avec la galerie Pierre Hallet ou aux Pays-Bas à la librairie galerie Bergensche de Bergen. LE SITE UN LIEN A LA GALERIE PIERRE HALLET UN TEXTE (MAGNIFIQUE ) SUR ALEXANDRA ( cliquer sur le lien) Ce catalogue d’exposition présente les œuvres récentes de l’artiste Alexandra Duprez. Les reproductions sont accompagnées des textes de Véronika Mabardi. Alexandra Duprez est née en 1974 à Quimper. À seize ans, elle décide de mettre entre parenthèses sa vie lycéenne et part en Australie. Là-bas, elle va un peu à l’école et fait quelques petits métiers. À Sydney, elle rencontre Robin Hundt, une femme passionnée par l’art des Aborigènes. Elle quitte la famille chez qui elle vit pour s’installer chez elle. Cette rencontre est l’occasion d’une découverte déterminante. Robin Hundt lui donne des crayons de couleurs et de la peinture; Alexandra commence à peindre. Ensemble, elles voyagent à la rencontre de l’art aborigène. À l’issue de cette année, elle rentre en France et s’inscrit à l’école des Beaux-Arts de Quimper. La troisième année est tumultueuse et elle quitte l’école. Elle s’installe à Douarnenez, petite ville portuaire du Finistère. Depuis 1995, Alexandra Duprez consacre son temps à la peinture. Elle expose régulièrement en France et en Europe. ACHETER L'OUVRAGE ICI
i was so sure that i had already posted about Mia Chaplin, because she is one of my favourite local artists – but somehow i have not. which means today is your lucky day. Mia lives in Cape Town and…
We spoke to the artist about her current projects and how a mountain retreat helped her find her way out of an artistic jam.
A comb in the shape of a mermaid. Made from cow horn by Sr. Prudencio Manjarrez of San Antonio la Isla, Mexico state, Mexico
An Arched Shaped Mosaic Of A Mermaid Fully Handmade Artwork From Natural Stones And Hand Cut Tiles.
1 1/2" x 4.5" sized image. Unmounted: Rubber die only Cling Mount: Rubber die on cling foam cushion closely trimmed (block not included) Wood Mount: Red rubber die with black foam cushion on a white maple wood mount For more People Stamps: https://www.etsy.com/shop/BeeswaxStamps?ref=hdr_shop_menu§ion_id=18877240 Shop Home: https://www.etsy.com/shop/BeeswaxStamps