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Happy 48th, Nina Hoss.
Raison et émotion, les armes de l’actrice Nina Hoss Frédéric Strauss Publié le 31/01/2015. Dans “Phoenix”, son sixième film avec le cinéaste Christian Petzold, elle incarne une Juive berlinoise rescapée des camps. Un rôle difficile et dérangeant qu'elle aborde avec intelligence et sensualité. Comme à son habitude. Au milieu des ruines d'une ville allemande, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, une femme cherche son mari. C'était Hanna Schygulla dans le film qui, en 1979, la rendit soudain célèbre en France et fit connaître sa fructueuse collaboration avec Fassbinder : Le Mariage de Maria Braun. Une scène semblable se joue aujourd'hui au début de Phoenix : dans une ville en ruines, à la fin de la guerre, Nelly, une femme allemande, cherche son mari. Et, à nouveau, une actrice surgit. Elle s'appelle Nina Hoss, elle vit à Berlin et elle est bien partie pour être très aimée ici. Cette muse a trouvé un metteur en scène avec qui nouer une précieuse alliance artistique : Christian Petzold. Ensemble, ils ont déjà fait un bout de chemin, six films jusqu'à Phoenix, qui arrive après Barbara (2012), leur premier succès chez nous. Le tandem est maintenant connu internationalement. « Connu uniquement à l'étranger ! », corrige Nina Hoss en riant. En Allemagne, elle n'est pas Barbara mais La Massaï blanche (2005) ou la femme vampire de Nous sommes la nuit (2011), des succès énormes. « De toute façon, la célébrité n'est rien à Berlin, poursuit-elle. Quand les gens voient quelqu'un de connu, ils regardent ailleurs tout de suite. » Christian Petzold a un point de vue plus tranchant : « Les Allemands ne supportent pas que nous soyons appréciés à l'étranger ! » Pour Nina Hosse, jouer Nelly a été une expérience rude mais fascinante Phoenix n'a pas apaisé les tensions. Dans les ruines où elle cherche son mari, Nelly est, plus qu'une épouse modèle, un fantôme dérangeant : juive berlinoise déportée dans les camps, elle revient d'un monde d'horreurs dont personne autour d'elle ne veut entendre parler. « Le film a bien marché en Allemagne, mais il a aussi irrité, et ça m'a irrité en retour, dit Petzold. Les survivants des camps ne sont toujours pas vraiment acceptés. » Qu'on puisse prendre avec des pincettes le personnage de Nelly, sans se laisser émouvoir, le met encore de mauvaise humeur. Nina Hoss, elle, n'y pense même pas : elle a fait avec ce rôle une expérience des plus dures mais aussi, ajoute-t-elle, des plus fascinantes. « L'identité de cette femme a été tellement détruite par ce qu'elle a vécu qu'elle doit s'en inventer une autre pour redevenir un être humain, pour se reconstruire et pouvoir se reconnaître. Nelly essaie, dans sa nuit, d'allumer une petite flamme, qui s'appelle l'espoir. » Pour suivre ce chemin entre ténèbres et lumière, il lui a fallu trouver « un nouveau mouvement », différent de celui de Barbara et des autres héroïnes que lui a fait jouer Petzold. Même si Nelly appartient, pour elle, à la même famille de personnages. « Ce sont des femmes solitaires qui ont une grande retenue et aussi une grande richesse intérieure. Elles sont isolées, comme Barbara l'était en RDA, mais elles aiment la vie, elles veulent comprendre le chemin qu'elles suivent et elles ont besoin, pour cela, de s'ouvrir aux autres. » Femmes romanesques, entourées de mystère, poursuivant un but secret, comme la dénommée Yella (2007), autre rôle-titre, qui se relevait d'un accident de voiture pour mener à bien un projet professionnel, gage d'indépendance, et pour aller, en vérité, au bout de son destin tragique. Actrice fétiche du cinéaste Christian Petzold Quand on demande à Christian Petzold de parler de son actrice fétiche, et des raisons pour lesquelles elle a pris cette place, il raconte une histoire en deux temps. « Pour préparer Dangereuses Rencontres (2001), notre première collaboration, j'avais montré des films et lu des textes aux comédiens. Nina notait tout scrupuleusement. Je m'étais dit : mon Dieu, c'est une excellente élève et moi j'ai besoin qu'elle soit une blonde troublante ! J'ai compris ensuite que c'est justement en se servant de toute son intelligence qu'elle atteignait une présence sensuelle, désirable. Puis, le dixième jour de tournage, j'ai su que nous allions faire beaucoup de films ensemble. Nina jouait une scène où elle devait se venger d'un homme et se retrouvait au-dessus de lui, brandissant une paire de ciseaux. J'avais peur car, dans l'histoire du théâtre et de l'art, beaucoup d'héroïnes se retrouvent dans cette situation, pleine de pathos. Mais l'expression de Nina au moment de la prise était exactement à l'opposé : au lieu d'exploser, elle a implosé. Ça m'a totalement enthousiasmé. » ”J’aime la manière de Romy Schneider d’être disponible, d’offrir ce qu’elle est à la caméra” Intelligence du jeu. Intelligence, même, de la séduction. Les qualités que Petzold met en exergue renvoient aussi à sa propre approche du cinéma, très réfléchie. Mais c'est sur les sentiments qu'a débouché ce parcours : « Dans Barbara, j'ai vu Nina comme une femme qui aimait vraiment, dit-il. Et cela m'a permis, dans Phoenix, de lui donner le rôle d'une femme qui porte en elle un grand amour perdu qu'elle voudrait pouvoir revivre. » De la raison à l'émotion, ainsi progresse la conversation avec l'actrice. Elle parle avec sagacité de son métier, de sa maîtrise : « Je ne veux pas forcément tout montrer dans un film. Mais si j'ose faire si peu devant la caméra, c'est peut-être parce que j'ai la possibilité de jouer au théâtre en y mettant tout mon souffle. » Membre de la Schaubühne, la fameuse troupe berlinoise que dirige Thomas Ostermeier (qui la mettra en scène en mai dans Bella Figura, de Yasmina Reza), elle a tracé une voie exigeante, une carrière de bosseuse. A peine aidée par sa mère, Heidemarie Rohweder, elle-même actrice puis metteuse en scène et directrice d'un théâtre à Stuttgart : « Son expérience m'a épargné beaucoup de chausse-trapes, je savais ce qu'était ce métier. » Compréhension, contrôle, rigueur, on sent une discipline devenue, à l'aube de la quarantaine, aussi solide que naturelle. Et puis, invitée à parler d'une actrice qui l'aurait particulièrement impressionnée, Nina Hoss choisit Romy Schneider et semble presque, alors, se décrire elle-même : « J'aime sa manière d'être disponible, d'offrir ce qu'elle est à la caméra, comme si elle pouvait même, à travers ses yeux, offrir son âme. Mais elle donne aussi le sentiment qu'on ne la connaît pas vraiment. » Son prochain défi : jouer en français Le temps est venu de désorganiser sa vie professionnelle. Moins de rendez-vous sur les planches et davantage de disponibilité. Pour un thriller avec le grand Philip Seymour Hoffman (Un homme très recherché, d'Anton Corbijn) ou pour un épisode de la série Homeland. « J'aime tourner dans des productions étrangères, c'est une autre manière de travailler. Ce n'est ni meilleur ni moins bon, c'est un autre défi. »Celui qu'elle a le plus envie de relever : jouer en français. Elle le fera, sa détermination est palpable. Ce qui donne raison à Christian Petzold quand il dit : « Il y a un entêtement chez Nina. Et dans ses plus beaux moments au cinéma, l'entêtement de la comédienne rencontre celui de la femme qu'elle joue. » Entre eux, une pause s'annonce. Mais avec des retrouvailles déjà prévues autour d'un personnage choisi par le metteur en scène : « Une actrice qui n'a pas de succès. »Une pure fiction. TELERAMA
Nina Hoss
Nina Hoss
Mandatory Credit: Photo by Matt Baron/BEI/Shutterstock (13698944dh) Nina Hoss The 34th Annual Palm Springs International Film Festival Gala, California, USA - 05 Jan 2023
Nina Hoss signs autographs during the 73rd Venice Film Festival on August 30, 2016 in Venice, Ita
Courtesy of Tar.
German autograph card. Photo: Ulrike Schamoni. German stage and film actress Nina Hoss (1975) often plays tragic, tormented heroines with somber attitude. She is a Nordic beauty, with a deep, sensual voice. Her close collaboration with director Christian Petzold has been extremely successful. Nina Hoss was born in Stuttgart, West Germany in 1975. Her father, Willi Hoss, was a German trade unionist and politician (member of the Bundestag in The Greens). Her mother, Heidemarie Rohweder, was an actress at Stuttgart National Theatre and later director of the Esslingen-based Württemberg State Playhouse (Württembergische Landesbühne Esslingen). Hoss acted in radio plays at the age of seven and appeared on stage for the first time at the age of 14. In 1997 she graduated from the Ernst Busch Academy of Dramatic Arts in Berlin. Her first major success in the cinema was the title role Rosemarie Nitribitt in the period drama Das Mädchen Rosemarie/A Girl Called Rosemary (Bernd Eichinger, 1996) with Heiner Lauterbach and Mathieu Carrière. Based on an actual scandal in the 1950s the film looks back at the days of West Germany's postwar Wirtschaftswunder with a curdling cynicism. It was a remake of Das Mädchen Rosemarie/Rosemary (Rolf Thiele, 1958) with Nadja Tiller in the title role. In 2000 she was one of the Shooting Stars at the Berlinale. Her close collaboration with director Christian Petzold has been extremely successful: she won the 2003 Adolf Grimme Award for her role in his film Something to Remind Me and two years later the Adolf Grimme Award in Gold for Wolfsburg (Christian Petzold, 2003) with Benno Fürmann. In Die weiße Massai/The White Masai (Hermine Huntgeburth, 2005) she played a woman falling in love in Kenya with Maasai Lemalian (Jacky Ido). The themes of the film were controversial. Ultimately, the film is about the clash of cultures and worldviews. She appeared next with Moritz Bleitreu and Franka Potente in Elementarteilchen/The Elementary Particles (Oskar Roehler, 2006), based on the controversial novel Les Particules élémentaires by Michel Houellebecq. Then she worked again with Christian Petzold at the dramatic thriller Yella (2007), an unofficial remake of the American cult horror film Carnival of Souls (Herk Harvey, 1962). Her performance of Yella, earned her the Silver Bear for Best Actress at the Berlin International Film Festival in 2007 and the German Film Award in 2008. Hoss and Petzold then made the drama Jerichow (Christian Petzold, 2008), loosely inspired by the American novel The Postman Always Rings Twice by James M. Cain. Anonyma - Eine Frau in Berlin/A Woman in Berlin (Max Färberböck, 2008), based on the memoir, Eine Frau in Berlin, published anonymously in 1959. The film premiered at the 2009 Berlin Film Festival and was praised for its portrayal of the waning days of World War II, a morally complex and brutal period. Nina Hoss played a lesbian vampire in the German vampire horror film Wir sind die Nacht/We Are the Night (Dennis Gansel, 2010), co-starring Karoline Herfurth. Hoss played a doctor exiled to an East German provincial backwater in 1980 in Barbara (2012), another collaboration with Christian Petzold. Nathan Southern at AllMovie: “The themes of this story are not particularly profound, but execution is everything. Thanks to expert scripting and direction, and an elegant central performance by Hoss, the shifts that we witness in Barbara Wolff are so delicate and subtle that they fly under our radar -- we feel that we're watching the credible growth of an actual person, not a character.” Nina Hoss has been a member of the Juries of the Locarno International Film Festival in 2009, and the Berlin International Film Festival in 2011. She was an ensemble member at the Deutsches Theater in Berlin from 1998 to 2013, where she appeared as Medea and as Franziska in Minna von Barnhelm (2005). In 2012, she was appointed sole judge of the 2012 Alfred Kerr Acting Prize at the Berliner Theatertreffen. In 2013, she joined the ensemble of the Schaubühne theatre in Berlin. She recorded a duet with the Welsh rock band Manic Street Preachers called Europa geht durch mich (Europe goes through me) for the 2014 album Futurology, produced by her partner. Hoss supports the Make Poverty History campaign and fights female genital mutilation. In continuation of the work of her father she is committed as a Goodwill Ambassador of the State of Pará in Brazil against the destruction of the rain forest and to improve the living conditions of the indigenous people living there. On television she played in nine episodes of the popular series Homeland (2014-2015). Her recent films include the espionage thriller A Most Wanted Man (Anton Corbijn, 2014), based on the novel by John le Carré, and starring Philip Seymour Hoffman, and the drama Phoenix (Christian Petzold, 2014), as a disfigured Holocaust survivor who sets out to determine if the man she loved betrayed her trust. She stars in the upcoming Rückkehr nach Montauk/Return to Montauk (Volker Schlöndorff, 2017) which has been selected to compete for the Golden Bear in the main competition section of the 67th Berlin International Film Festival. Sources: Nathan Southern (AllMovie), Wikipedia and IMDb.