Guide de bonnes manières et de savoir-vivre, quiz pour devenir une lady et un gentleman des temps modernes ! Ici sur Apprendre les Bonnes Manières !
À 20 ans, on croise Marcel chez les plus grands noms de l'aristocratie : la comtesse de Chevigné, le comte de Montesquiou, le comte de Turenne ou encore la princesse Mathilde. Dans les comptes-rendus mondains que donnent les journaux, so...
Black and whiteCe bijou Couture est entièrement réalisé à la main avec amour, finesse et minutie selon les techniques de la broderie d’art pratiquée dans la haute couture.Le bracelet La Marquise reprend les teintes de l'élégance. Il se compose de paillettes sphinx et blanches.Le dos du bijou est encollé d’un cuir d’agneau noir de provenance française. La manchette est réglable.Collection Haute Couture Mondanités Dimensions de la broderie : 17,5 x 2,5 cmTechniques : vermicelle de paillettes sphinx, rivière de paillettes blanche
Boris Pasternak Gabriel García Márquez Milan Kundera Arthur Miller Susan Sontag Ursula K. Le Guin Boris Vian Sergei Dovlatov John Updike Simone de Beauvoir Eugen Ionescu Thornton Wilder Vladimir Nabokov William Saroyan Paul Auster Sylvia Plath Jacques Prévert Paul and Nusch Eluard Jorge Luis Borges…
Soirées poudrées, mondanités arrosées et vacances à Ibiza de mai à mai, la brindille ne s'est pas ménagée durant la dernière décennie. Au point qu'aujourd'hui son mode de vie se lit sur son visage. Rides, cheveux abîmés, dents jaunies... Des médecins passent Kate Moss au crible.
In celebration Peggy Guggenheim's birthday, we decode the fabulous wardrobe of the woman who changed modern art
Pastel, 1872. Edgar Degas est un artiste complexe, un talent incompris loin des mondanités, affilié malgré lui à l’impressionnisme. T Gautier le qualifiait comme un "artiste d'une rare personnalité" quand E Manet voyait en lui un "peintre de danseuses". C'est surtout en 1872 qu'il découvre la danse en visitant les coulisses de l'Opéra de Paris. Le peintre va alors tomber amoureux de cet art et lui rendre hommage dans le plus impressionnant des corpus sur le sujet. Sa peinture s'intéresse d'abord à un aspect méconnu de la danse, ses coulisses. S'il assiste aux spectacles avec ses amis, il regarde aussi les répétitions, les classes avec les maîtres de ballet et les repos des danseuses, donnant ainsi du réalisme à ses tableaux. E Degas montre que la beauté a un prix, celui de la souffrance et du travail. Dans l'imagerie populaire, les danseuses sont des déesses envoûtant de riches mécènes, jouant de leur charme pour parvenir à la prospérité financière. En les rendant humaines, elles n'en sont que plus belles. Son œuvre représente la danse dans toute sa noblesse, s'opposant aux tableaux de son contemporain et successeur, Toulouse-Lautrec, peignant les danseuses populaires du Moulin-Rouge, sensuelles et désirables. Celles représentées par E Degas sont lumineuses, toujours vêtues de leur habit de lumière : le tutu. Blanc, vert, jaune, doré, rouge, brodé, luxueux, il est un élément central de ses peintures et l'objet de toutes ses attentions. Ce tutu est le symbole de l'élégance de la danse classique, celui qui permet de le distinguer des autres danses populaires. Avec E Degas, le terme "étoile" prend tout son sens, tant les danseuses semblent nous éblouir .La couleur et le faste contrastent pourtant avec les sujets traités : l'attente, le travail, la souffrance des danseuses, semblant parfois vivre un calvaire. Avec ce choix, il élève au rang d'art chaque composante de la danse. Le trait impressionniste sied parfaitement au sujet choisi, définissant merveilleusement le mouvement des danseuses, permettant de multiplier les détails et les couleurs. Il insuffle la vie dans un art qui se veut justement vivant où les danseuses ne sont pas prisonnières de la toile, mais douées de vie (cf. lescorpsemouvants.overblog.com).
Le Studio Harcourt vient de publier sur Wikimedia Commons une série de portraits sous licence libre Creative Commons. Le célèbre studio rejoint d’autres institutions comme récemment la BNF qui a mis à disposition du public
"Il n'y a que deux catégories de femmes dans l'entourage de notre seigneur Farouk. Celles qui cèdent leurs charmes et celles qui cèdent leurs services. Si vous ne participez pas à son plaisir, vous ne survivrez pas longtemps ici." Promue vice-conteuse par Farouk, Ophélie découvre à ses dépens les complots qui couvent sous les plafonds dorés de la Citacielle. Entre les menaces anonymes qui la visent, l'ambiguïté de son fiancé Thorn et ces inquiétantes disparitions à la cour, la jeune fille est contrainte d'enquêter : quelles vérités se cachent derrière les illusions du Pôle ? Après Les fiancés de l'hiver, la saga de La Passe-miroir se poursuit avec Les disparus de Clairdelune.
Julien Doré photographié par Studio Harcourt Paris, 2008. photo sous licence Creative Commons CC by Julien Doré photographed by Studio Harcourt Paris, 2008. Studio Harcourt Paris ( http://studio-harcourt.eu/ )
