Pumpkin art kitchen art print antique botanical art prints Vintage garden art print home decor wall art kitchen antique prints vegetable art Gorgeous botanical illustration by Ulisse Aldrovandi It comes from the Italian book published in the 1700’s. This print is digitally enhanced with some odd blemishes left to enhance it's antique look. -------------------------------------------------------------------------------------------- To see a set of 4 by Ulisse Aldrovandi, please see the link below: https://www.etsy.com/listing/516270654/pumpkin-art-kitchen-art-print-antique?ref=shop_home_active_34 -------------------------------------------------------------------------------------------- Image size: 5" x 7", 8" x 10", 11" x 14", 12" x 16" and 16" x 20" with small white additional border for easy framing. Please select the print size when making your purchase. Matte or frame is not included but it gives an example of how beautiful the print can look framed. Printed with Professional printer and archival inks on a lovely Epson premium archival smooth matte paper. In person, these prints have a rich and vibrant colors and look stunning. -------------------------------------------------------------------------------------------- FLAT RATE SHIPPING: Any additional prints in the same order at NO EXTRA CHARGE!! Please Note: Actual colors may vary slightly from the color on your screen due to monitor color restrictions. -------------------------------------------------------------------------------------------- Item will be carefully packed in sturdy mailing tubes or cardboard envelopes to insure their safe arrival .For rolled prints, allow the prints to unfurl naturally for a day or two before framing/mounting. I ship worldwide. I will ship to the address that is provided through Etsy, unless otherwise requested. -------------------------------------------------------------------------------------------- For antique and vintage maps, Patent prints, Japanese art, Art Nouveau posters, Art Deco illustrations, and more, please visit my other Etsy Shop. https://www.etsy.com/shop/VictorianWallDecor?ref=hdr_shop_menu -------------------------------------------------------------------------------------------- Do not hesitate to contact me should you have any questions.
Cet article est en cours de réalisation. La multitude incroyable de documents demande des approches diverses ; thématiques, chronologiques, régionales. Par ailleurs, à chaque fois, un seul exempla…
Le début de "De l'autre côté du miroir". (c) Grasset-Jeunesse. En 1974, dans la vague créative de l'après-mai 68 qui ébranlait aussi la littérature de jeunesse, Nicole Claveloux, 34 ans, publiait crânement sous la houlette de François Ruy-Vidal et Bernard Bonhomme une version illustrée des "Aventures d'Alice au Pays des merveilles" de Lewis Carroll ("Alice's Adventures in Wonderland", 1865, traduit en 1969 de l'anglais par Henri Parisot, Grasset-Jeunesse, 98 pages). Un grand format quasiment carré, en texte intégral, très bien traduit en français et joliment imprimé en couleur bronze. D'une modernité alors incontestable, ses illustrations se montraient à la fois lumineuses, poétiques, et insolites, complètement en accord avec ce chef-d'œuvre de l'antilogique qu'Henri Parisot a su parfaitement traduire en français. Vignettes monochromes et pleines pages couleurs ont marqué durablement les esprits et poussé à lire ce texte incontournable. Aujourd'hui, quarante-cinq ans après ce coup de maître, la géniale créatrice française est enfin parvenue à ses fins. En effet, à Moulins en 2015, elle me disait que les images de la suite d'Alice, "De l'autre côté du miroir", étaient terminées et qu'il n'y avait plus qu'à imprimer l'album. Le voilà donc, ce "De l'autre côté du miroir et ce qu'Alice y trouva", de Lewis Carroll ("Through the Looking-Glass, and What Alice Found There", 1871, traduit en 1968 de l'anglais par Henri Parisot, Grasset-Jeunesse, 98 pages), tant voulu par Nicole Claveloux, pionnière de la littérature de jeunesse de qualité. Dans un format quasiment carré, identique à son célébrissime "Alice" qui, longuement introuvable, avait bénéficié d'une réimpression quasiment à l'identique en 2013, sous la houlette de l'épatante éditrice Valeria Vanguelov. "De l'autre côté du miroir" par Nicole Claveloux. (c) Grasset-Jeun. Parcourir ce nouveau grand format est un pur bonheur, que l'on découvre à cette occasion le formidable travail graphique de Nicole Claveloux ou qu'on la suive depuis longtemps. Car son "De l'autre côté du miroir" s'enrichit très subtilement de ses œuvres précédentes - elle a beaucoup publié, une soixantaine d'ouvrages, et peint de nombreux tableaux, au cours des quatre décennies écoulées. "De l'autre côté du miroir". (c) Grasset-Jeunesse. Il s'agit effectivement d'un album événement comme l'annonce l'éditeur. On y retrouve la patte de l'illustratrice d'Alice dans les différents chapitres, mis en lumière par des vignettes en noir et blanc et de pleines pages couleurs. Mais le trait s'est affirmé et l'inspiration encore plus libérée. Portraits d'Alice dans différentes situations, dont la traversée initiale du miroir bien entendu, scènes avec des animaux ou des monstres, variations sur Heumpty Deumpty, tout cela est enchanteur. Du grand Claveloux! On reconnaît ici un air de "Dedans les gens", là des amateurs de bisous et c'est régalant. "Je n'ai jamais mis de barrières entre les dessins pour enfants et adultes", explique Nicole Claveloux. "Lorsque je dessine, je ne me pose pas de questions. Jamais je ne me suis dit: ce dessin est spécialement conçu pour les enfants. Mais il existe des lectures à plusieurs niveaux, non?" "De l'autre côté du miroir" par Nicole Claveloux. (c) Grasset-Jeun. Il suffit de se confier aux dessins de Nicole Claveloux pour voguer impeccablement sur le texte jusqu'à la dernière phrase de Lewis Carroll: "Vivre, ne serait-ce qu'un rêve?"
Rois Et Reines. Texte: Virginie Lou Éditions Casterman - 1995 nicole.claveloux.free.fr/
Nicole Claveloux was born in 1940 in Saint-Etienne and moved to Paris to begin work as an illustrator in 1966. She produced many illu...
*** LA FEMME DU RÉSIDENT EST CACHÉE DANS CETTE PHOTO. SAURAS-TU LA RECONNAÎTRE? (Petite aide à l'attention des distraits: cette ancienne jeune femme n'a jamais eu froid aux yeux) *** LA PREMIÈRE FEMME INVENTEUR D'UN AÉROPLANE. (La société de l'époque étant affreusement misogyne, son invention fut honteusement ignorée) *** LES SOEURS TIC-TAC DANS LEUR FAMEUX DUO: "DEUX P'TITES POULES SUR UN MUR QUI PICOTAIENT DU PAIN DUR" (Duo stoppé net en raison d'une méchante prise de bec) *** LES SOEURS TIC-TAC DANS LEUR FAMEUX SECOND DUO: "AIGRETTES COURONNÉES, BIDE ASSURÉ" (Second duo stoppé en raison d'une terrible allergie aux plumes de ces volatiles) *** LES SOEURS TIC-TAC DANS LEUR DERNIER DUO: "TÊTES RONDES, TÊTES BLONDES NE PASSERONT PAS DANS LA BONDE" (A moitié étouffées, les soeurs Tic-Tac décidèrent de se séparer pour de bon) *** http://arthurignatowski.blogspot.com/search?updated-max=2010-05-05T23:54:00%2B01:00 Jacques Damboise
[La rubrica Altreletture è dedicata alla segnalazione di articoli reperibili in rete.] Uno degli eventi editoriali più chiacchierati in Italia negli ultimi mesi è stato il trionfale ritorno in libreria del classico di Maurice Sendak Nel paese dei mostri selvaggi (Where the Wild Things Are, 1963), riproposto da Adelphi nella collana “I cavoli a merenda” e nella nuova traduzione di Lisa Topi. La clamorosa assenza dalle librerie italiane di questo capolavoro, considerato una pietra miliare della letteratura illustrata per ragazzi, era stata segnalata giusto un anno fa, nel marzo del 2017, sul blog Topipittori, dove comparve un articolo rivolto a Roberto Calasso, proprietario e direttore di Adelphi. Come si legge nell’articolo, il libro “è stato portato in Italia nel 1969, dalla Emme Edizioni di Rosellina Archinto […] nella traduzione di Antonio Porta”, e “ripubblicato, sempre con la medesima traduzione, nel 1999 da Babalibri”, salvo poi scomparire dalle librerie e risultare perfino su Amazon come “fuori catalogo”. L’articolo, cercando di fare luce sull’accaduto, ricordava che nel 2012, alla morte di Sendak, “gli eredi hanno rinegoziato i diritti delle sue opere e la gara fra le case editrici italiane è stata vinta da Adelphi […]. Il precedente editore ha avuto tempo fino al 16 luglio 2016 per vendere le copie che aveva in magazzino ma, non potendo più ristampare, il libro si è esaurito già nel giugno di quell’anno”. Nel gennaio 2018, in coincidenza col ritorno dei mostri selvaggi di Sendak nelle librerie italiane, un articolo di Cristiano de Majo per Rivista Studio ha provato a ricapitolare i motivi per cui Where the Wild Things Are è diventato un libro di culto, arrivando a vendere circa 20 milioni di copie nel mondo e ispirando anche una trasposizione cinematografica diretta da Spike Jonze e scritta da Dave Eggers. “Molta parte della sua bellezza”, osserva de Majo, “sta nei disegni che hanno un tratto originalissimo – qualcuno ha richiamato l’influenza di Chagall – e un tono cupo e stridente molto insolito per un libro per bambini, e non solo per l’epoca della sua uscita, ma ancora oggi. Non tutta la sua forza però è da far risalire alla parte visiva. Nel paese dei mostri selvaggi è anche letteratura. È un racconto enigmatico, che mischia realismo e sogno, riuscendo come poche altre cose a trasmettere il senso dell’infanzia. È una storia che fa delle lacune, e quindi della possibilità di essere interpretato a molti livelli, una forza”. Maurice Sendak, Nel paese dei mostri selvaggi, Adelphi, 2018. La copertina della nuova edizione Adelphi riprende i caratteri tipografici della prima edizione americana (Harper & Row, 1963). Il dibattito sulla nuova edizione Adelphi si è poi concentrato in modo particolare sulla traduzione di Lisa Topi, molto diversa dalla precedente traduzione di Antonio Porta. Un’attenta comparazione delle due versioni è stata fatta da Lorenzo Alunni in un articolo per Il lavoro culturale, che sintetizza in questo modo la loro differenza: “se da una parte la traduzione di Antonio Porta aveva il pregio di offrire ai lettori e lettrici un testo felicemente influenzato dall’attitudine poetica del traduttore, dall’altra quella di Lisa Topi ha il merito di portarci più vicini alla limpidezza della lingua di Sendak”. In un bell’articolo per Fumettologica, Andrea Fiamma tratteggia la stessa differenza in questi termini: “Per indole, Porta si mangia il testo, vuole farsi più grande delle parole cristalline di Sendak, tradisce spesso, usa un linguaggio alto (forse all’epoca lo era meno) e le occasionali ripetizioni che inserisce tradiscono il desiderio di far diventare la storia una cantilena. […] [Quella di Porta] Non è la traduzione più letterale ma ha un’energia che la nuova traduzione, pur maggiormente fedele, non ha. […] Tuttavia, al netto delle differenze, quella di Topi pare una traduzione in linea con il progetto di un’edizione filologica”. Di tutte le varianti, la più discussa è stata senz’altro quella relativa alla celeberrima frase “let the wild rumpus start!”, pronunciata dal piccolo Max di fronte alle creature selvagge dopo essere stato da loro incoronato re. La versione di Porta recitava “attacchiamo la ridda selvaggia!”, mentre quella di Topi “scateniamo il finimondo!”. La sostituzione di un termine prezioso e raro come “ridda” – oltretutto accompagnato da un verbo impiegato in un’accezione secondaria (“attaccare” per “iniziare”) – con un termine di uso più frequente come “finimondo” è stata considerata da un lato funzionale a una più immediata comprensione del testo da parte dei lettori più giovani, ma dall’altro ha lasciato delusi non pochi appassionati, per i quali la versione di Porta era ormai diventata proverbiale. “Se un libro ti fa cercare almeno una parola nel dizionario è generalmente un buon segno”, nota Lorenzo Alunni; “in questo caso però dobbiamo tenere conto che la scelta di Porta, letta oggi, rischia di lasciare perplessi i giovani ascoltatori – e non solo – e di costringere chi gli sta leggendo la storia a voce alta a interrompere la narrazione e a spiegare cosa sia una «ridda»”. La maggiore potenza icastica della frase scelta di Porta – aggiungo – deriva però anche dalla scelta di un verbo come “attaccare”, che richiama all’istante il campo semantico della caccia e una situazione predatoria, e dalla volontà di conservare l’importante attributo “wild”. Sarebbe comunque un peccato, oltre che un errore, impuntarsi su una singola parola trascurando tutto il resto. “Moltissimi sono i dettagli su cui soffermarsi in questa storia in cui a un protagonista bambino è concesso di essere cattivo senza un perché, nel regno dove non esiste offesa, cioè quello fantastico, ma anche in quello reale, degli esseri umani a lui più prossimi, cioè i familiari” ha scritto Nadia Terranova in un più recente articolo per Gli Asini, dove è fornita una bella interpretazione dell’albo incentrata sui motivi interconnessi dell’amore, della rabbia, della paura e della fame. “We’ll eat you up–we love you so!” gridano i mostri selvaggi a Max pregandolo di non andarsene dalla loro terra, e svelando, come osserva l’articolo, “che dietro la metafora di una pulsione cannibale si cela un profondo desiderio d’amore”. Lo stesso Sendak ricordava con affetto che un suo piccolo lettore aveva fatto propria la profonda verità del libro, poiché apprezzò talmente tanto il disegno di un mostro selvaggio che l’autore gli aveva spedito da arrivare al punto di mangiarselo. Una volta un bambino mi mandò un meraviglioso biglietto con un piccolo disegno. Mi piacque tantissimo. Rispondo a tutte le lettere dei bambini che mi scrivono, a volte anche frettolosamente, ma in questo caso ci persi un po’ di tempo. Gli mandai un biglietto con il disegno di un mostro selvaggio e gli scrissi: «Caro Jim, il tuo biglietto mi è piaciuto tantissimo». In risposta mi arrivò una lettera di sua mamma che diceva: «A Jim il suo biglietto è piaciuto così tanto che se l’è mangiato». È stato uno dei più grandi complimenti mai ricevuti. Non gli importava che fosse un disegno originale di Maurice Sendak, o cose del genere. L’ha visto, gli è piaciuto, se l’è mangiato». “L’unico rimpianto” osserva poi giustamente Nadia Terranova “è che Sendak sia ancora così poco presente oggi nelle librerie italiane […] e che si finisca sempre per parlare di Nel paese dei mostri selvaggi, quando ci sarebbero tanti altri libri da tradurre”. Chissà se il successo della nuova edizione spingerà Adelphi a proporre in tempi brevi altri libri di Sendak, magari cominciando dagli altri due volumi dell’ideale trilogia sullo sviluppo psico-emotivo del bambino inaugurata da Where the Wild Things Are e poi proseguita con In the Night Kitchen (1970, già pubblicato in Italia da Emme e Babalibri col titolo Luca la luna e il latte) e Outside Over There (1981), oppure dal libro più caro all’autore, scritto dopo la morte dell’adorata cagnolina Jessie e a lei ispirato, Higglety Pigglety Pop! Or, There Must Be More to Life (1967). Due spunti per approfondire nel frattempo la vita e l’opera di Sendak sono forniti dai già citati articoli di Lorenzo Alunni e Andrea Fiamma: il primo è un memorabile articolo su Sendak scritto da Nat Hentoff, pubblicato nel 1966 sul New Yorker e ora leggibile per intero online; il secolo è una lunga intervista che Gary Groth fece a Sendak nell’ottobre del 2011, e della quale si trovano in rete due estratti sul sito The Comics Journal (uno e due). Altri due articoli, apparsi invece su questo stesso blog, riguardano da un lato la spinosa questione della censura che subì In the Night Kitchen per aver mostrato un bambino nudo, dall’altro il forte legame affettivo che Sendak ebbe fin dall’infanzia con Mickey Mouse, al quale dedicò bellissime parole che all’epoca cercai di rendere al mio meglio in italiano. Infine, per chi volesse rivedere Sendak e la sua casa, oltre che ascoltare le sue parole, è imprescindibile il documentario di Spike Jonze e Lance Bangs Tell Them Anything You Want: A Portrait of Maurice Sendak (2009), uscito appena tre anni prima della sua morte. Maurice Sendak Articoli segnalati Signor Calasso, where are the wild things? https://www.topipittori.it/it/topipittori/signor-calasso-where-are-wild-things Cristiano de Majo, Perché Nel paese dei mostri selvaggi è diventato un libro di culto http://www.rivistastudio.com/standard/nel-paese-dei-mostri-selvaggi-maurice-sendak/ Lorenzo Alunni, Nel paese dei mostri selvaggi: la nuova traduzione http://www.lavoroculturale.org/paese-mostri-selvaggi/ Andrea Fiamma, “Nel paese dei mostri selvaggi”. Torna il capolavoro di Maurice Sendak http://www.fumettologica.it/2018/02/nel-paese-dei-mostri-selvaggi-maurice-sendak/ Nadia Terranova, Maurice Sendak il ritorno dei mostri http://gliasinirivista.org/2018/04/maurice-sendak-ritorno-dei-mostri/ Nat Hentoff, Among the wild things https://www.newyorker.com/magazine/1966/01/22/among-the-wild-things Gary Groth, Maurice Sendak Interview [estratti] http://www.tcj.com/maurice-sendak-interview-sneak-preview/ http://www.tcj.com/the-comics-journal-302-maurice-sendak-interview-excerpt-2/