Églantine a 28 ans quand elle apprend le décès de son père qu’elle n’a pas revu depuis vingt ans. Elle quitte alors la grisaille parisienne pour se rendre à Kervi, le village breton de son enfance et visiter la boulangerie-pâtisserie qui lui a été transmise en héritage. Les souvenirs, souvent douloureux, qu’elle avait enfouis très profondément commencent alors à remonter au contact de Marronde, sa tante, de Gaël, un ancien camarade de classe, mais surtout de l’odeur du pain chaud aux mêmes effets...