Nul n’a été moins polémiste qu’Auguste Perret. Il comptait sur son œuvre pour s’affirmer et s’imposer. Il n’a pas écrit, à l’exception d’un recueil de pensées, « Contribution à une théorie de l’Architecture », récemment édité, et dans lequel on retrouve, sous une forme concise, arrondie et polie, les formules lapidaires …