J'ai bien dû repousser l'écriture de cet article pendant au moins 4 longs mois. Non pas par manque d'envie, mais parce que j'avais vraiment du mal à savoir par quel bout aborder ce vaste sujet qu'est mon hypothyoïdie. D'ailleurs, au départ, ce n'est pas du tout quelque chose que je crie sur tous les toits.