Vous aimez la recette ? Partagez celle-ci à votre famille et à vos amis :)
Tous les ans, c’est la même chose… du 25 juillet au 15 août, si vous voyez quelqu’un à 8 h du mat’ en équilibre précaire sur un tas de pierre, en train de se tortiller pour …
Changez de l'ordinaire et dégustez le pesto de pissenlit pour accompagner des pâtes par exemple, ou à étaler dans un sandwich !
Lors de mes promenades dans ma campagne gersoise, j'ai souvent l'occasion de repérer les buissons propices aux cueillettes : mûres bien sûr, mais aussi poires et pommes sauvages, le cynorhodon, et les prunelles à la jolie couleur violacée.Le prunelier (prunus spinosa) est aussi appelé épine noire : quand vous aurez l'occasion de le croiser vous comprendrez pourquoi ^^ Ses rameaux sont armés de redoutables épines de 3 cm de longueur, qui égratignent méchamment les avants bras lors de la cueillett
Ah ces mûres !... C'est un plaisir de les découvrir, un peu moins de les arracher à leurs ronciers.... un bonheur de les retrouver l'hiver !
A la saison des mûres, on pense tout de suite aux tartes et confitures. Mais quelles autres recettes aux mûres sauvages peut-on faire ?
Une pâte de fruit hyper simple et rapide, bien meilleure. Elle se conserve très bien dans une boite en fer et dans un endroit sec et frais. A vous d'essayer maintenant!
Découvrez notre recette facile et rapide de Sorbet aux mûres sauvages sur Cuisine Actuelle ! Retrouvez les étapes de préparation, des astuces et conseils pour un plat réussi.
Le mélilot (Mélilotus officinales) dégage au séchage un parfum de vanille et de foin et peut aromatiser des desserts et boissons
Consoude (fleurs) Comme tout cueilleur, il y a des périodes où je ne sais plus où donner de la tête ! C’est le cas en ce moment : alors que je croyais pouvoir laisser panier au placard et pouvoir me balader les mains dans les poches et le nez en l’air, c’est raté ! En fait, c’est parce que j’ai toujours le nez en l’air que, cueilleuse invétérée, je découvre tous les jours de nouveaux trésors ! En dehors des mûres qui sont très abondantes cette année (j’en suis à ma cinquième récolte, et je découvre de nouveaux buissons pleins à craquer tous les jours !), en dehors de mon massif de cornouillers mâles pas encore assez mûrs mais que je surveille de près, en dehors des viornes lantana dont la récolte me rebute un peu, des noisettes qui commencent à être intéressantes, je suis tombée hier sur des parterres de chénopodes blancs, d’amarante et, et, devenez quoi ? De la consoude ! Aussi grandes que moi !!! Alors que certains ouvrages la donnent pour une récolte mai-juin, j’ai l’impression que c’est tout au long de l’année que je tombe nez à nez avec elle, elle m’obsède et je me demande si je n’hallucine pas quand elle se pavane avec des feuilles larges et longues jusqu’à faire 60x20 !!! Quant à celles qui me dépassent de quelques centimètres, elles sont tout simplement insolentes, et n’auront pour juste punition que de finir dans mon assiette, na ! Vous n’y croyez pas ? Ben, voici les images, et elles ne sont pas truquées, comme celles du tigre de Chine du sud !!! Inutile de vous dire que j’aime bien cette plante sauvage (enfin, considérée comme telle puisqu’on commence à la cultiver couramment dans les jardins) qui a un goût de poisson très prononcé, ainsi que l’odeur, d’ailleurs, si bien que je la marie volontiers avec tous les produits de la mer ou des rivières. Et, pour vous démontrer que ce ne sont pas, là encore, que des menteries, en fin de billets vous trouverez quelques-unes de mes recettes préférées. De mon origine vietnamienne et de mon attirance pour une partie de la cuisine grecque, j’ai gardé la manie de tout rouler en nem ou en dolmades, donc tout ce qui s’y prête (grandes feuilles faciles à farcir) y passe ! DESCRIPTION : la consoude (Symphytum officinale L.) est une grande plante vivace pouvant atteindre plus d’1,50 m (je l’ai vérifié, elles étaient plus grandes que moi celles rencontrées hier !), plus ou moins velues, certaines ayant des soies assez raides pour pouvoir même « piquer » rudement au toucher. On peut la trouver en isolé ou en colonie, quelquefois impressionnante. Les tiges, en aile, sont dressées, rameuses dès la base. Les feuilles sont alternes, ovales se terminant souvent en pointe très effilée, quelquefois arrondies, légèrement pétiolées à la base puis soudées à la tige. On dit alors qu’elles sont « embrassantes ». Les fleurs, blanchâtres, jaunâtres, rosâtres, bleues ou lilas, sont des corolles tubulaires se terminent en cloche, deux fois plus longs que le calice, leurs boutons sont groupés en cyme scorpoïdes. ATTENTION, risque de confusion avec la digitale TOXIQUE ! La rosace de la consoude qui apparaît au départ de la végétation peut être confondue avec celle de la digitale ! Mais au toucher, le risque est limité : la consoude est rude à cause de ses soies assez raides, parfois piquantes, son vert est plutôt tendre à foncé, tandis que la digitale est douce, d’un vert plus argentée à cause de son duvet velouté, agréable au contact. En floraison, la digitale présente une longue hampe munie de grandes corolles pourpres. C'est une plante toxique dans toutes ses parties. Feuilles de consoude farcies au thon UTILISATION CULINAIRE de la consoude : tout est comestible dans cette plante. Les feuilles jeunes peuvent être ajoutées dans les salades. Personnellement, je n’aime pas trop à cause de leur contact un peu rude sur la langue, même hachées, je les utilise surtout cuites : en beignet, bien sûr, mais aussi en farcis, en nem, en dolmades, quand on a la chance de trouver des feuilles de belle taille ; en soupe également, en purée. Les boutons floraux sont délicieux cuisinés à la façon des « brocolis » ou en « asperges ». Le goût très iodé de la plante, à forte odeur de poisson, est très étonnant ! Boulettes de calmar à la consoude Boulette détail Pavé de saumon sur lit de purée de consoude Purée de consoude Faire revenir, après les avoir haché grossièrement, 1 gros oignon, 2 échalotes, 3 gousses d'ail et 1 petite carotte dans de l'huile d'olive, au bout de 5mn, ajouter les feuilles de consoude hachée gros, cuire 10mn, ajouter un jus de citron jaune, saler et poivrer, mixer grosseur selon votre préférence, et servir avec un poisson (ici, un pavé de saumon). Feuilles de consoude farcies (oignons, champignons, porc haché, ail, sel et poivre) Pour une entrée sympa ! Comme on le voit sur les deux photos ci-dessus, les feuilles de la consoude, surtout à la base, peuvent être très lancéolées ou plutôt rondes... C'est une plante qui pousse souvent en colonie, mais on la trouve aussi en sujets isolés. Celle-là, j'ai eu du mal à la photographier, elle était plus grande que moi ! NB : il y a encore peu, on considérait que la consoude était toxique à cause de la faible dose d’alcaloïde hépatotoxique qu’elle contient. Or les recherches récentes ont prouvé que celle-ci n’avait aucune incidence sur l’organisme humain. Mais on conseille quand même de la consommer avec modération (comme pour tout, d’ailleurs !). Encore quelques photos, pour une reconnaissance facile de la plante ? A gauche : une belle colonie, avec comme bannière une fleur en bouton ! A droite : détail de la fleur épanouie. Attention : c'est à ce stade de végétation qu'on peut confondre la consoude avec la digitale. Mais il suffit de toucher les feuilles de la consoude pour s'apercevoir qu'elle est très rude ! En agrandissant la photo, on voit bien qu'elle est poilue ! A gauche : belle feuille à farcir ! A droite : feuilles de berce spondyle et de consoude (à droite) en beignets. La recette a déjà été publiée dans ce blog. Un détail du "roulage" des nems ou dolmades de consoude ! Il faut blanchir les feuilles quelques secondes à l'eau très chaude pour les ramollir, et, surtout, enlever la grosse nervure centrale au dos de la feuille, sans déchirer celle-ci ! ADDENDUM J'ai souvent tendance à omettre (!) d'écrire les recettes, tant tout me semble aller de soi en cuisine !!! Je publie donc ici la recette des boulettes de calmar ainsi que celle de mes feuilles de consoude farcis façon nem ou dolmades, je les dédicace à Mado (qui a raison de me secouer, je suis très paresseuse pour écrire les recettes !) avec quelques photos en prime pour me faire pardonner. Boulettes de calmar à la consoude : Pour une 50aine de boulettes : - 20 grandes feuilles de consoude débarrassées complètement de la nervure centrale et hachées gros - 2 gros calmars à détailler en petits cubes 1x1cm - 2 gros oignons jaunes et 1 rouge bien fermes, coupés en gros dès - 3 échalotes hachés gros - 3 gousses d’ail hachées gros . Mélanger tous ces ingrédients, saler et poivrer selon goût . Passez le tout à la moulinette, hachis assez fin . Façonner les boulettes à l’aide de deux cuillères à soupe . Les déposer au fur et à mesure dans l’huile brûlante . Les frire d’un côté 3mn, puis les retourner pour dorer l’autre face . Egoutter sur du papier absorbant. Le meilleur accompagnent est du riz blanc et une sauce tomate maison (je publierai ma recette sur l'autre blog la semaine prochaine). ********** Nems (ou dolmades) de consoude aux champignons - 12 grandes feuilles de consoude pour servir d'enveloppe, dont on aura enlever araser la nervure centrale au dos de la feuille (attention de ne pas la déchirer ni la séparer en deux, il faut qu’elle reste entière) ; les blanchir 2 ou trois secondes dans de l’eau frémissante pour les ramollir, - quelques feuilles de consoude hachées supplémentaires pour mélanger à la farce, - pour la farce : 12 champignons de Paris, 1 gros oignon, 1 gousse d’ail, le tout haché assez fin, - 1 œuf pour lier le hachis, . Bien mélanger tous les ingrédients du hachis, faire revenir rapidement à la poêle, saler et poivrer, laisser tiédir ou mieux refroidir, . Rouler les nems : étaler une feuille de consoude à plat, mettre la farce au milieu à 2cm du bas, replier les côtés puis le bas et rouler le nem jusqu’au bout de la feuille (voir sur la dernière photo avant l'addendum), . Placer les nems dans une poêle en les serrant bien ; arroser d’un peu d’huile d’olive et de bouillon de légumes, cuire doucement 10 mn. Servir comme entrée ou en accompagnement d’un poisson ou d’une viande. **********
C'est la saison des mûres... partez à la cueillette et réalisez ce crumble aux mûres super facile en quelques minutes ! Accompagné d'une boule de glace...
Tous les ans, c’est la même chose… du 25 juillet au 15 août, si vous voyez quelqu’un à 8 h du mat’ en équilibre précaire sur un tas de pierre, en train de se tortiller pour …
Tant qu'il y aura des mûres sauvages, il y aura toujours de bons crumbles. Tarte aux mûres sauvages façon crumble Ingrédients pour 6/8 personnes 500 g de mûres sauvages 2 à 3 c. à soupe de sucre en poudre Le jus d’un demi-citron Pâte à crumble 240...
Une spécialité de certaines régions espagnoles très saine et idéale pour perdre du poids Plat de bourrache avec des pommes de terre et d...
Une soupe complète à base de riz et légumes
L'heure du goûter approche, et quoi de mieux qu'une petite gourmandise maison ? Je re-partage avec vous cette recette de muffins dans laquelle vous pourrez utiliser les dernières mûres de la saison. Pour 12 Muffins : 200 g de farine 80 g de sucre roux...
Servir avec une boule de crème glacée à la vanille!
Les dimanches après-midi en familles a ramassé les mûres en se baladant. Que de souvenirs fabuleux. Bon, en oubliant bien évidement les tiques et les griffures des ronces. Pour se réconforter, voici une superbe tarte signé Cédric Grolet. Faut-il encore...
On ne fait pas forcément attention aux plantes sauvages qui nous entourent. Certaines sont pourtant comestibles et faciles à reconnaitre.
Cuisiner des plantes sauvages comestibles en radonnée et en bivouac : quelles plantes, quelle recettes ?
La recette du beurre de capucine
Le plantain s'utilise en cuisine comme pour soigner. Connu depuis l'antiquité, c'est une plante indispensable à connaître pour ces vertus et utilisations multiples
Apprenez à fabriquez un baume apaisant à base de plantain, utile pour les petits problèmes de peau (piqûres, gerçures, légères brûlures)
Recette de Quiche minceur au chèvre et myrtilles sauvages. Facile et rapide à réaliser, goûteuse et diététique. Ingrédients, préparation et recettes associées.
Découvrez notre recette facile et rapide de Crumble aux mûres sur Femme Actuelle ! Retrouvez les étapes de préparation, des astuces et conseils pour un plat réussi.
Le délice qui marque la fin de l'été J'adore cette période de l'année, il fait encore beau sans faire trop chaud, mais aussi et surtout, c'est le moment de partir, panier sous le bras, dans les bois et dans les champs, le long des haies et des sentiers désertés, à la recherches de mûres sauvages avec l'espoir d'en trouver suffisamment pour réaliser quelques pots de confiture. Bon, évidemment, on rentre les bras et les mains griffés et écorchées et les vêtements constellés de tâches, mais ces petits inconvénients sont bien vite oubliés dès la 1ère cuillérée de cette petite merveille engloutie! Pour pouvoir réaliser quand même quelques pots, il faut un peu de patience et cueillir au moins 2 bons kilos; mais les choses iraient beaucoup plus vite si j'arrêtais d'en manger une fois sur deux! Les mûres sauvages (fruits du roncier sauvage) sont plus petites, moins charnues et sucrées que les mûres du mûrier (arbuste cultivé et qui donne des fruits dès le mois de juillet) mais très aromatiques, à la saveur acidulée et très juteuses. Elles permettent donc de réaliser de fabuleuses confitures. Comme d'habitude, je ne mets jamais autant de sucre que la quantité qu'il faut normalement utiliser pour être sûre de réaliser une confiture qui se tienne bien. Mais elle me convient parfaitement comme ça, et à mon goût je trouve qu'il y a déjà bien assez de sucre. La règle veut qu'on ajoute la même quantité de sucre que de fruits, je me contente d'en mettre la moitié et c'est déjà bien suffisant! Juste équilibre entre sucré et acidité, pile comme j'aime. Laver les couvercles et les pots de confiture à l'eau bouillante et les retourner pour les faire sécher à l'air libre. Peser les mûres et ajouter la moitié du poids obtenu en sucre (privilégier un sucre à confiture ou 'gélifiant' c'est mieux!= il s'agit d'un sucre cristallisé auquel sont additionnés des ingrédients facilitant la prise des préparations: pectine naturelle de fruits et acides citrique. La pectine remplira plus le rôle de gélifiant, l'acide citrique, lui est utilisé pour assurer une meilleure conservation. Du fait de ces ingrédients, ce sucre possède une saveur légèrement acidulée). Personnellement, j'ai pesé 2 kgs de mûres, j'ai donc ajouté 1kg de sucre gélifiant. Remuer et laisser macérer toute une nuit ou au moins 12 heures. Verser dans une grande marmite, l'idéal étant d'utiliser une bassine à confiture en cuivre (ce que je n'ai pas, mais qui ne m'empêche nullement de réaliser de très bonnes confitures quand même). Faire chauffer sur feu doux en remuant régulièrement et aux 1ers bouillons, compter environ 15 min de cuisson. Il est possible d'utiliser un thermomètre à sucre (celui ci je l'ai par contre!): quand il indique 115°, stopper la cuisson et remplir de suite les pots au ras bords à l'aide d'une louche et d'un entonnoir pour éviter les souillures. Fermer et retourner les pots. Laisser refroidir à t° ambiante 24 heures et les remettre à l'endroit: cette technique permet d'éviter la stérilisation. A déguster sur un morceau de pain frais ou dans un fromage blanc: c'est divin!
Le goût des choses simples Chaque fin d’été, mon plaisir favori est d’aller cueillir des mûres. Et il faut les voir pour le croire, elles sont superbes cette année et quelle abondance ! Je commence par grappiller celles qui sont à portée de main. Mon...
Petit arbre conique ou buisson, son port est variable et dépend des conditions du milieu dans lequel il grandit. Il est très fréquent en Haute-Loire comme quasiment dans toute la France. Toujours vert, au bois odorant, vous ne pouvez pas le rater ! Surtout en cette saison. Le genevrier commun (Juniperus communis) est un Conifère […]
Une soupe complète à base de riz et légumes
Une recette originale et savoureuse aux parfums d'été !
Bonjour à tous ! Pour les abonnées FACEBOOK de Mon Show...colat, vous avez pu voir la belle récolte de mûres sauvages que mon papa a faite. Il nous a fait de très bonnes confitures avec, j'en ai congelé une partie et j'ai cherché sur la toile une recette...
Le délice qui marque la fin de l'été J'adore cette période de l'année, il fait encore beau sans faire trop chaud, mais aussi et surtout, c'est le moment de partir, panier sous le bras, dans les bois et dans les champs, le long des haies et des sentiers désertés, à la recherches de mûres sauvages avec l'espoir d'en trouver suffisamment pour réaliser quelques pots de confiture. Bon, évidemment, on rentre les bras et les mains griffés et écorchées et les vêtements constellés de tâches, mais ces petits inconvénients sont bien vite oubliés dès la 1ère cuillérée de cette petite merveille engloutie! Pour pouvoir réaliser quand même quelques pots, il faut un peu de patience et cueillir au moins 2 bons kilos; mais les choses iraient beaucoup plus vite si j'arrêtais d'en manger une fois sur deux! Les mûres sauvages (fruits du roncier sauvage) sont plus petites, moins charnues et sucrées que les mûres du mûrier (arbuste cultivé et qui donne des fruits dès le mois de juillet) mais très aromatiques, à la saveur acidulée et très juteuses. Elles permettent donc de réaliser de fabuleuses confitures. Comme d'habitude, je ne mets jamais autant de sucre que la quantité qu'il faut normalement utiliser pour être sûre de réaliser une confiture qui se tienne bien. Mais elle me convient parfaitement comme ça, et à mon goût je trouve qu'il y a déjà bien assez de sucre. La règle veut qu'on ajoute la même quantité de sucre que de fruits, je me contente d'en mettre la moitié et c'est déjà bien suffisant! Juste équilibre entre sucré et acidité, pile comme j'aime. Laver les couvercles et les pots de confiture à l'eau bouillante et les retourner pour les faire sécher à l'air libre. Peser les mûres et ajouter la moitié du poids obtenu en sucre (privilégier un sucre à confiture ou 'gélifiant' c'est mieux!= il s'agit d'un sucre cristallisé auquel sont additionnés des ingrédients facilitant la prise des préparations: pectine naturelle de fruits et acides citrique. La pectine remplira plus le rôle de gélifiant, l'acide citrique, lui est utilisé pour assurer une meilleure conservation. Du fait de ces ingrédients, ce sucre possède une saveur légèrement acidulée). Personnellement, j'ai pesé 2 kgs de mûres, j'ai donc ajouté 1kg de sucre gélifiant. Remuer et laisser macérer toute une nuit ou au moins 12 heures. Verser dans une grande marmite, l'idéal étant d'utiliser une bassine à confiture en cuivre (ce que je n'ai pas, mais qui ne m'empêche nullement de réaliser de très bonnes confitures quand même). Faire chauffer sur feu doux en remuant régulièrement et aux 1ers bouillons, compter environ 15 min de cuisson. Il est possible d'utiliser un thermomètre à sucre (celui ci je l'ai par contre!): quand il indique 115°, stopper la cuisson et remplir de suite les pots au ras bords à l'aide d'une louche et d'un entonnoir pour éviter les souillures. Fermer et retourner les pots. Laisser refroidir à t° ambiante 24 heures et les remettre à l'endroit: cette technique permet d'éviter la stérilisation. A déguster sur un morceau de pain frais ou dans un fromage blanc: c'est divin!
Hey coucou ! Hier, tout en promenant avec mon zom, nous avons ramassé tout plein de mûres sauvages, 1,5 kg pas mal non ?!!! Plusieurs recettes en perspective 🤗. Aujourd'hui j'ai fais un clafoutis à Index glycémique bas, donc au top pour les personnes...
Le pourpier d'hiver se sème d'août à novembre et peut se récolter deux à trois mois après le semis. Cette soupe est une belle manière d'en profiter!
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sanglier, oignon, ail, poivre, sel, huile d'olive, thym, laurier