Le site des amoureux du grand-reportage
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Over a period of 6 years, renowned photographer Hans Silvester photographed peoples of the Omo Valley. It is a very remote area in Ethiop...
Leur corps est leur toile et leurs doigts des pinceaux. Présentation des photos sur le site:Grands reporters: "Aux confins de l’Ethiopie, à trois jours de piste d’Addid-Abeba, à plus de mille kilomètres de Khartoum et à des siècles de la modernité,...
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German photographer Hans Silvester has documented the Surma and Mursi people of southern Ethiopia and their creative DIY/haute couture tra...
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Hans Silvester est un photographe professionnel allemand connu dans le monde entier pour son militantisme environnemental. Il était pour moi un inconnu avant que je me trouve face à un portrait qu'il a saisi durant l'un de ses voyages au cœur de la vallée...
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L'art éphémère ne date pas d'hier ! Pour preuves les peuples vivant autour de la rivière Omo, en Ethiopie non loin de l'endroit où fût trouvée Lucy, qui pratiquent la peinture corporelle depuis des temps immémoriaux. Enseigné depuis l'enfance, cet art...
Hans Silvester est un photographe professionnel allemand connu dans le monde entier pour son militantisme environnemental. Il était pour moi un inconnu avant que je me trouve face à un portrait qu'il a saisi durant l'un de ses voyages au cœur de la vallée...
Lucy, la célèbre australopithèque découverte en Ethiopie en 1974, donne envie à Hans Silvester de découvrir ce berceau de l’humanité. Il fait son premier voyage en Ethiopie 2002 et part à la rencontre des peuples de la vallée de l’Omo. Lucy, the famous Australopithecus discovered in Ethiopia in 1974, gave Hans Silvester the desire to explore the cradle of humanity. He made his first trip to Ethiopia in 2002 and met with the peoples of the Omo Valley, a region covering 60,000km2.
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Je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises des fascinantes pratiques d’ornements corporels des tribus de l’Omo. Aujourd’hui, je vous propose des portraits d’enfants, dont la…
The Omo Valley tribes live by the River Omo – they are now at risk from a huge dam project.
Leur corps est leur toile et leurs doigts des pinceaux. Présentation des photos sur le site:Grands reporters: "Aux confins de l’Ethiopie, à trois jours de piste d’Addid-Abeba, à plus de mille kilomètres de Khartoum et à des siècles de la modernité,...
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Prenons de l’ocre, rouge, jaune, du kaolin, de l’argile en clin d’œil à Marie-Laure qui m’a envoyé la vidéo en fin de billet. Servons nous de nos doigts et des pinceaux de la nature : brindilles, feuilles, plumes. Maquillons-nous mutuellement, le visage, le crane, le dos, le ventre, les jambes, le pubis. Laissons aller la vitesse du geste, la spontanéité et surtout, une fois qu’une œuvre aussi belle qu’un Antoni Tapies, qu’un Joan Miro ou un Jackson Pollock apparait… courrons et plongeons vite dans l’eau. *source 1, source 2, source 3, source 4 Peuples de l'Omo Les tribus de l’Omo, en Ethiopie, soit les peuples Hamer, Mursi, Surma, Bume et Karo, se servent de leur corps comme d’un tableau, une parure, pour le rite mais aussi le pur plaisir. Hans SILVESTER, en nous offrant ses photographies, nous offre de la couleur, de la joie, une certaine désinvolture mais aussi une pudeur… le corps nu des hommes n’est pas le signe d’un libertinage, juste d’une manière d’être au monde. « De l’âge de huit ans jusqu’à la quarantaine, les membres d’une dizaine de tribus, - Hammer ou Karo – se peignent le corps et les cheveux, d’un rien, d’une poignée de terre, d’un mélange de beurre liquide et d’ocre, de la poussière de bouse de leurs vaches à longues cornes ou des cendres anthracite de leur feu de camp. Une feuille d’arbuste, des plumes de roseau blanc, une grappe de baies jaunes, un bout de calebasse brisée, tout devient art et parure. » extrait de ce très beau texte là. Pour en savoir un peu plus, c’est là aussi. Et dire que ces visages enfantins (ou moins), cette peau cuivrée ou de bronze, ces motifs ronds, en points, en ligne, ressemblant aux fourrures de la faune, aux ombres et lumières de la flore, ces couronnes de saisons, de graines, de feuilles, de branches, de calebasse, de fleurs, véritables nids sans oiseau, chapeau éphémères et ces poses, que nous pourrions prendre pour de l’insolence quand il ne s’agit là que de bonheur à être soi… je les préfère à nos tableaux finalisés, sur le mur, matérialisé… même s’ils sont magnifiques. * source 1, source 2 Pollock * source Tapies * source 1, source 2 Miro Allez encore un peu de couleurs et d’énergie avec la vidéo du reportage de Hans Silvester qui nous raconte son aventure là.