Asselbergs Alphonse Aubry Emile Birck Alphonse Besnard Albert Bridgman Frederick Arthur Baugniès Eugène Brouillet André Barrias Félix-Joseph Beyle Pierre Bro De Coméres Olivier Biseo Cesare Chavet Victor Joseph Comerre léon François Chataud Alfred Chassériau...
Prière du soir dans le Sahara Oeuvre de Gustave Guillaumet (1840-1887) 1863 Salon de 1863 Huile sur toile Acquis de l'artiste au Salon, 1863 Paris, musée d'Orsay Oeuvre présentée dans les salles sur l'orientalisme de la collection permanente du musée d'Orsay Gustave Guillaumet (1840-1887) est une figure essentielle de la peinture orientaliste du XIXe siècle. Ce peintre naturaliste, est éperdument épris des grands espaces et des habitants de l’Algérie aux premiers temps du joug colonial. Notice complète dans le catalogue du musée d'Orsay www.musee-orsay.fr/fr/collections/catalogue-des-oeuvres/n...
Etienne Dinet J'ai toujours été très attirée par la peinture orientaliste, quand j'étais enfant les reproductions que je pouvais voir de peinture orientaliste, me faisaient rêver de princesses, de contes de fées, c'était magique, c'était des scènes...
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Tout un courant littéraire et artistique, l'orientalisme, a contribué à répandre une image ambiguë et fantasmée de l'Orient, qui perdure encore aujourd'hui. Comment ce courant s'est-il construit, et en quoi consiste l'image qu'il donne de l'Orient ? Et quels sont ses effets aujourd'hui ?
With this exhibition, the Museu Nacional is setting out to restore the figure of Josep Tapiró to its rightful place as one of the leading representatives of international Orientalism.
l'Orientalisme L'orientalisme est un courant littéraire et artistique occidental du XIX e siècle. Il existe cependant un orientalisme humaniste et classique qui remonte à la fin du Moyen Âge et au début de la Renaissance, lorsque les explorations commencèrent,...
Henri Matisse - Odalisque a la culotte grise, 1927 at Musée de l'Orangerie Paris France
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L'art calligraphique islamique moderne dans toute sa splendeur Pour Nora Elgalad, la typographie c'est "l'art de la communication entre les esprits" Egyptienne de 32 ans au nom de Nora Elgalad de Damiette, elle travaille comme indépendante comme concepteur...
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auteur de ce cliché non mentionné "Philae... C'était au fond de cet immense cirque de granit que le Nil serpentait jadis, formant des îlots frais, où l'éternelle verdure des palmiers contrastait avec ces hautes désolations érigées alentour comme une muraille. Aujourd'hui, à cause du "barrage" établi par les Anglais, l'eau a monté, monté, ainsi qu'une marée qui ne redescendrait plus ; ce lac, presque une petite mer, remplace les méandres du fleuve et achève d'engloutir les îlots sacrés. Le sanctuaire d'Isis - qui trônait là depuis des millénaires au sommet d'une colline chargée de temples, de colonnades et de statues - émerge encore à demi, seul et bientôt noyé lui-même ; c'est lui qui apparaît là-bas, pareil à un grand écueil, à cette heure où la nuit commence de confondre toutes choses. (...) Toujours au chant des rameurs, nous avançons péniblement sur ce lac artificiel - que soutient comme en l'air une maçonnerie anglaise, invisible au lointain, mais devinée et révoltante ; lac sacrilège, pourrait-on dire, puisqu'il ensevelit dans ses eaux troubles des ruines sans prix : temples des dieux de l'Égypte, églises des premiers siècles chrétiens, stèles, inscriptions et emblèmes. C'est au-dessus de ces choses que nous passons, fouettés au visage par des embruns, par l'écume de mille petites lames méchantes. Nous approchons de ce qui fut l'île sainte. Par places, des palmiers, dont la longue tige est aujourd'hui sous l'eau et qui vont mourir, montrent encore leur tête, leurs plumets mouillés, donnant des aspects d'inondation, presque de cataclysme. Avant d'aborder au sanctuaire d'Isis, nous touchons à ce kiosque de Philae, reproduit par les images de tous les temps, célèbre à l'égal du Sphinx ou des Pyramides. Il s'élevait jadis sur un piédestal de hauts rochers, et les dattiers balançaient alentour leurs bouquets de palmes aériennes. Aujourd'hui, il n'a plus de base, ses colonnes surgissent isolément de cette sorte de lac suspendu et on le dirait construit dans l'eau à l'intention de quelque royale naumachie. Nous y entrons avec notre barque, et c'est un port bien étrange, dans sa somptuosité antique ; un port d'une mélancolie sans nom, surtout à cette heure jaune du crépuscule extrême, et sous ces rafales glacées que nous envoient sans merci les proches déserts. Mais combien il est adorable ainsi, le kiosque de Philae, dans ce désarroi précurseur de son éboulement ! Ses colonnes, comme posées sur de l'instable, en deviennent plus sveltes, semblent porter plus haut encore leurs chapiteaux en feuillage de pierre : tout à fait kiosque de rêve maintenant, et que l'on sent si près de disparaître à jamais sous ces eaux qui ne baissent plus. (...) Au sortir du kiosque, notre barque, sur cette eau profonde et envahissante, parmi les palmiers noyés, fait un détour, afin de nous conduire au temple par le chemin que prenaient à pied les pèlerins du vieux temps, par la voie naguère encore magnifique, bordée de colonnades et de statues. Entièrement engloutie aujourd'hui, cette voie-là, que l'on ne reverra jamais plus ; entre ses doubles rangées de colonnes, l'eau nous porte à la hauteur des chapiteaux, qui émergent seuls et que nous pourrions toucher de la main. - Promenade de la fin des temps, semble-t-il, dans cette sorte de Venise déserte, qui va s'écrouler, plonger et être oubliée. Le temple. Nous sommes arrivés. Au-dessus de nos têtes se dressent les énormes pylônes, ornés de personnages en bas-relief : une Isis géante qui tend le bras comme pour nous faire signe, et d'autres divinités au geste de mystère. La porte, qui s'ouvre dans l'épaisseur de ces murailles, est basse, d'ailleurs à demi noyée, et donne sur des profondeurs déjà très en pénombre. Nous entrons à l'aviron dans le sanctuaire. Et, dès que notre barque a passé au-dessus du seuil sacré, les bateliers interrompant leur chanson, poussent en surprise le cri nouveau qu'on leur a appris à l'usage des touristes : Hip ! hip ! hip ! hurrah ! Oh ! l'effet de profanation grossière et imbécile que cause ce hurlement de la joie anglaise, à l'instant où nous pénétrions là, le cœur serré par tant de vandalisme utilitaire ! Ils comprennent d'ailleurs qu'ils ont été déplacés et ne recommenceront pas ; peut-être même, au fond de leur âme nubienne, nous savent-ils gré de leur avoir imposé silence. Il fait plus sombre là dedans bien que ce soit à ciel ouvert, et le vent glacé siffle plus lugubrement qu'au dehors ; on est transi par une humidité pénétrante, - humidité d'importation, bien inconnue autrefois dans ce pays avant qu'on l'eût inondé. Nous sommes dans la partie du temple non couverte, celle où venaient s'agenouiller les fidèles. La sonorité des granits alentour exagère le bruit des avirons sur cette eau enclose, et c'est si déroutant de ramer et de flotter entre ces deux murs où jadis pendant des siècles les hommes se sont prosternés le front contre les dalles !" extrait de La mort de Philae, par Pierre Loti (1850-1923). De son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, cet écrivain français a mené parallèlement une carrière d'officier de marine.
Anne-Louis Girodet de Roussy-Trioson, Portrait de Mustapha, 1819, 55,7 x 47,1 cm. Huile sur toile © J. Faujour/musée Girodet, Montargis Des artisans entourés d'objets aux multiples couleurs et textures, des silhouettes féminines tantôt voilées de mystère...
Pour connaitre la signification des tatouages berberes (amazighs), et dans quelle circonstance sont utilisés, lisez mon article.
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This diminutive pitcher or creamer is a lovely example of Royal Gouda pottery from 1921. The shape of the piece and the Rhodian pattern decoration hint at an orientalism that recalls medieval art. The globular body transitions rapidly into an upright neck with a slight inclination at the transition point between body and neck. The bottom of the handle continues down from the attachment point, it curves down along the body of the pitcher and ends in a protuberance, the projecting form is rather like a corbel, giving the piece an architectural feel. The pitcher is decorated with matte glazes in muted colors with abstract floral patterns that are frequently described as art nouveau, but this feels more like Islamic ceramic patterns to me. The colors are shades that contrast strongly with each other, olive, mustard, terra cotta, and blue; but in tones that give the decoration an earthy feel. The strong color contrast and the intricacy of the curving folate decoration create a sense of energy and motion. The subdued quality of the colors tempers this energy and balances it against the simplicity of the pitcher shape. The matte glazes are applied over a glossy underglaze in robin egg blue that peeks out in open sections of the decoration, lightening and brightening the pattern with small flashes of pale blue. Marks: The piece is marked on the bottom with incised model and décor marks, which are difficult to read because they are superimposed with painted marks. The painted marks include the little house” mark representing the local landmark, the Gate of Lazarus, and Holland, indicating that this was produced by the Dutch pottery factory Plateelbakkerij Zuid. It also has a year and month mark, rather like a bare pine bough with the number 4 next to it, which indicates this was made in April of 1921. It is marked with the decorator’s initials, JM, possibly Johana Catherina Meewezen who worked for the factory from sometime around 1916 until at least the late 1920s. The décor name and number are painted on the bottom above the logo; Rhodian 494 (or possibly 794). Approximate Measurements: Height: 4” Diameter: 2 ¾” (3 ½” across including the handle) Condition: The pitcher is in excellent condition with no cracks, chips, or other damage. The underglaze has some crackling from age, but I see no signs of wear or use. There are a few, scattered dimples in the matte surface which were bubbles in the glaze from the manufacturing process.
Avec ses montagnes vertigineuses, ses villes-oasis et ses palais d'une rare beauté, l'Ouzbékistan est à l'honneur d'un nouveau livre publié aux éditions Assouline.
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Le Manuscrit Bihbahan (Fars, 1398) (musée d’art turc et islamique d’Istanbul, n°1950) « l’Anthologie de 7 poètes copiée en 1398 par un scribe de Bihbahan dans le Fars, comporte 12 miniatures ; sur ces 12, 11 sont des paysages : mais toutes, y compris...
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