Percevez-vous plus ou moins que vous ne devriez ? Selon la Cour des comptes, 14 % des pensions de retraites versées comportent une erreur de calcul. Comment cela est-ce possible ? Que faire si on est concerné par cet épineux problème ?

L’article d’aujourd’hui vous aidera à employer correctement les homophones cour, cours, court, courre, etc. Une cour est un espace découvert, entouré de murs ou de bâtiments, faisant partie d’une école, d’une habitation, etc. La cour peut aussi désigner l’entourage d’un souverain, sa résidence, un groupe de personnes cherchant à plaire à une personne en particulier, ou encore les membres d’une juridiction dans un tribunal. Exemples : Les enfants ont hâte d’aller jouer dans la cour de récréation. Molière écrivait des pièces destinées à divertir la cour du roi. L’actrice avançait, entourée de la cour de ses prétendants. L’affaire sera jugée mercredi en cour d’appel. Un cours est un enseignement donné par un professeur à un ou plusieurs élèves. Le cours peut également faire référence au mouvement ou au parcours d’une masse liquide, ou à l’enchaînement de plusieurs évènements. Enfin, le cours est le taux ou prix auquel se négocient des marchandises ou valeurs. Exemples : Elle a cours d’anglais à 8 heures, puis cours de mathématiques à 9 heures. Le cours de ce ruisseau est bordé de pistes cyclables. Cet article détaille le cours des évènements de la semaine passée. Il suit de près le cours de la bourse. Court […]

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La première césarienne réussie, c’est-à-dire à laquelle auraient survécu mère et enfant, et connue dans l’histoire, aurait été réalisée à la cour du roi de Bohême Jean 1er de Luxembourg à Prague en 1337. Voilà comment Béatrice de Bourbon, la seconde femme du souverain, aurait donné naissance à Venceslas 1er, le demi-frère du futur empereur Charles IV. C’est la conclusion à laquelle est parvenue une…

In this chapter, both zooarchaeological and historical evidence are used to explore variation in patterns of consumption among different sectors of medieval English society (ca. A.D. 1066-1520).

Rogier van der Weyden. 1399-1464. Bruxelles. Portrait d'une Dame. Portrait of a Lady. vers 1460. Londres National Gallery. Oeuvre de l'atelier. Une Dame de la Cour du Duc de Bourgogne. Work of the workshop. A Lady of the Court of the Duke of Burgundy. LES PEINTRES "PRIMITIFS FLAMANDS". L'Art est idéologique, c'est un fait. Non seulement l'Art est le reflet des idéologies en vigueur à une époque donnée, dans un pays donné, mais encore l'idéologie gouverne l'histoire de l'art. Des historiens l'ont écrit, par exemple Jacques Heers " Le parti pris idéologique, les slogans, répétés à chaque génération, par l’école républicaine, ont fait que nos livres ne proposent que des images truquées, fausses de la société féodale. On ne veut connaître que les « terres seigneuriales », les rapports de maîtres à soumis, entre «seigneurs et paysans ». Bien d'autres historiens professionnels ont admis ce fait. Le plus souvent en fin de carrière ou à la retraite. Ce constat est valable en histoire de l'art. Appeler Jan Van Eyck, Hans Memling, Gérard David, Rogier Van der Weyden (Roger de la Pasture), Robert Campin, Hugo Van der Goes, Jérôme Bosch, Dirck Bouts, Pieter Brueghel l'Ancien, tous les peintres de l'Ecole de Bruges du 15è siècle, des "Primitifs "est très révélateur de l'existence des préjugés idéologiques qui façonnent le récit historique officiel. Alors que les peintres de la même époque en Italie sont qualifiés de "Renaissants" ! On aurait aussi bien pu les appeler des "Premiers", comme l'impose une mode idéologique identique pour les peuples d'Afrique, d'Amérique ou d'Océanie ! Techniquement il n'y a absolument rien de primitif dans la peinture des "Primitifs flamands" qui est l'aboutissement d'une reconquête du savoir faire qui a déjà plusieurs siècles à leur époque. Même s'il est vrai que la perspective des peintres flamands est plus pragmatique que mathématique, et moins exacte que celle des peintres italiens de la même époque. Cette appellation de "peintres primitifs" serait admissible pour la peinture Byzantine ou pour la peinture paléochrétienne, pré-romane ou romane. Les mosaïques des églises de Rome montrent clairement l'existence d' une régression technique de l'art figuratif depuis l'époque de Santa Constanza (Mausolée du 4è siècle) aux mosaïques de Santa Prassede (8è siècle). Régression technique. Pas régression esthétique. Les mosaïstes italiens du 8è siècle, pourtant instruits par leurs collègues de l'Empire Byzantin, ont perdu les techniques de l'art réaliste et naturaliste qui étaient encore connues au 4è siècle. Au 8è siècle les artistes de l'ancien Empire romain ne savent plus rendre la perspective, les volumes, la psychologie des personnages. Les animaux, les personnes, les plantes sont stylisés, jusqu'à perdre la ressemblance. Ce n'est pas une question de choix, c'est une régression des procédés, un recul du savoir-faire, qui va se poursuivre encore pendant des siècles. Cette régression technique donne cependant naissance a une esthétique qui n'a rien d'inférieure. Car le Beau est indépendant des techniques. L'appellation de "Primitifs flamands" date, d'après les spécialistes, du 19è siècle. Il semble que les historiens contemporains aient parfois tendance à corriger cette vision de l'histoire. Ils emploient aussi le terme de "Renaissance flamande" ou "Première Renaissance". Cette appellation de Renaissance n'est pas plus satisfaisante. Elle appartient exactement à la même idéologie sous jacente que celle qui a inventé l'expression "Primitifs flamands" ! De nombreux historiens ont montré que la renaissance européenne, globale, économique et artistique, date des 11è-12è siècles, pas du 15è siècle. L'appellation la plus "neutre", qui est parfois employée, est celle de "Peintres gothiques" ou " Peintres du Gothique tardif". Cette appellation de "Gothique" n'était d'ailleurs pas neutre à sa création, au 19è siècle. Elle avait une connotation de "barbarie", en opposition précisément au terme de "Renaissance". Mais l'appellation "d'art gothique", est pratiquement devenue "objective" au fil des siècles. Elle a perdu sa connotation péjorative. On peut donc la retenir sans déformation des faits. Il est en effet difficile de continuer à soutenir que les églises gothiques sont des témoignages de primitivisme technique en architecture. En réalité ont été appelés "primitifs", par volonté de dévalorisation, tous les peintres européens, flamands et italiens, de l'époque romano-gothique, c'est à dire de l'Europe chrétienne- catholique. Une époque où, effectivement, tout l'art européen est orienté par l'idéologie catholique. Car la seule différence, vraiment significative, entre les peintres flamands du 15è, dits "primitifs" et les peintres italiens du 15è, dits "renaissants" c'est que les peintres flamands ont presque pour unique thème de leur peinture la religion (sauf Bruegel Pierre l'ancien). Alors que les peintres italiens du 15è prennent aussi pour sujet de leurs tableaux la mythologie et l'histoire grecque ou romaine. Un fait d'évidence: l'idéologie commande l'art, mais aussi l'histoire, et l'histoire de l'art en particulier. THE "FLEMISH PRIMITIVE" PAINTERS. Art is ideological, it is a fact. Not only Art is a reflection of ideologies prevailing at a given time in a given country, but the ideology governs the history of art. Historians have written, for example Jacques Heers "The ideological bias, the slogans repeated in every generation by the republican school, meant that our books offer only faked images, false of feudal society." Many other professional historians have admitted this fact. Usually late-career or retired. This is valid in art history. Call it Jan van Eyck, Hans Memling, Gérard David, Rogier van der Weyden, Robert Campin, Hugo Van der Goes,Dirck Bouts, Hieronymus Bosch, Pieter Brueghel the Elder, all the painters of the School of Bruges in the 15th century, the "Primitives" is very indicative of the existence of ideological prejudices that shape the official historical narrative. While the painters of the same period in Italy are called "Renaissants!" We might as well call them "First", as required by the same ideological mode, for the peoples of Africa, America and Oceania! Technically the painting of "Flemish Primitives" is absolutely not primitive. It is the culmination of a reconquest of the expertise that has already several centuries to the times. While it is true that the prospect of Flemish painters is more pragmatic than mathematical, and less accurate than that of Italian painters of the same period This designation of "primitive painters" would be admissible for the Byzantine painting, or the early Christian painting, pre-Romanesque and Romanesque. The mosaics of the churches of Rome clearly show the existence of a technical regression of figurative art, since the time of Santa Constanza (Mausoleum of the 4th century) to the mosaics of Santa Prassede (8th century). technical regression. No aesthetic regression. the Italian mosaic artists of the 8th century, though educated by their colleagues of the Byzantine Empirehave, have lost the techniques of realistic and naturalistic art, which were still known in the 4th century. In 8th century artists of the ancient Roman Empire no longer know make the prospect, the volumes, the psychology of the characters. Animals, people, plants are stylized until lose the resemblance. This is not a matter of choice, it is a regression of the processes, a decline of expertise, which will still continue for centuries. This technique regression, however, gives rise to an aesthetic that has nothing lower. Because the Beautiful is independent of the techniques. The appellation of "Flemish Primitives" was invented, according to specialists, in the 19th century. It seems that contemporary historians sometimes tend to correct this view of history. They also use of the term "Flemish Renaissance" or "Early Renaissance". But this appellation of Renaissance, is not satisfactory. It belongs to exactly the same ideology underlying, as that coined the term "Flemish Primitives"! Many historians have shown that the European Renaissance, global, economic and artistic, dates from the 11th-12th centuries, not of the 15th century. The more "neutral" label, which is sometimes used, is that of "Gothic Painters" or "Late Gothic Painters". This appellation of "Gothic" was also not neutral in its creation in the 19th century. She had a connotation of "barbarism", precisely in opposition to the term "Renaissance". But the term "gothic art" has practically become "objective" over the centuries. She lost its pejorative connotation. We can detain her, without distortion of the facts. Indeed It is difficult to continue to support that the Gothic churches are testimonials of technical primitivism in architecture. In fact, were called "primitive" by will of devaluation, all European, Flemish and Italian, painters, of the Romanesque-Gothic period, ie of the Christian- Catholic Europe period. A period when, indeed, all European art is guided by the Catholic ideology. Because the only difference, really significant, between the Flemish painters of the 15th, called "primitives", and the Italian painters of the 15th, called "renascent" is this: the Flemish painters have almost for unique theme of their painting, the religion ( except Peter Bruegel the elder). While the Italian painters of the 15th also take to subject of their tables, the mythology, and the Greek or Roman history. An obvious fact: ideology, command the art, but also the history, and the history of art in particular.

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