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Painted in Rome, this tondo (circular painting) of the Virgin and Child employs a rare motif of flanking candelabra that was derived from representations of ancient Roman emperors. Through this reference to the rulers of antiquity, Raphael (Raffaello Santi) alludes to Christ's and Mary's roles as the king and queen of Heaven. Raphael was famed for his graceful style. which combined the study of classical sculpture and nature. The chiaroscuro effects (modeling in light and shade) and gentle coloring give the figures a soft, delicate appearance. The painting relies heavily on the participation of Raphael's workshop, and the two angels certainly were done by his assistants. This was the first Madonna painted by Raphael to enter a North American collection.
* Leon Lepeltier at work... Lepeltier (#26) Atelier des Beaux-Arts de Paris in 1896 ------------------ I just picked up this very nice example of a late 19th century student drawing from the antique. I missed an earlier male nude by the same artist but managed to grab this one for less than forty dollars US. Quite a bargain if I must say. Leon Lepeltier (1877-1960) is a well listed French artist who studied along with some big name French artists at the Atelier des Beaux-Arts de Paris such as Henri Matisse, Georges Roualt, and Albert Marquet at the end of the 19th century. He was a painter of architecture and interiors. During the latter part of his life he worked as a conservator for several French National Museums. He was a pupil of Gustave Moreau, Francois Flameng, Francois Morel and Cormon. He attended the studio of Gustave Moreau in 1895 and this drawing is from that period. In the class photograph above, Lepeltier is number 26. He exhibited at the Salon des Artistes Francais where his works took Honorable Mention in 1899 and in 1900 at the ocassion of the l'Exposition Universelle, Paris. ----------------------------------------------------
Frédéric-Auguste Bartholdi : Vercingétorix. Statue équestre en bronze sur la place de Jaude à Clermont. --> Montferrand Musée d’Art René Quilliot - Place Louis Deteix. (département : Puy-de-Dôme) --> Visite du musée des beaux-Arts le jeudi 16 mai 2002. Superbe musée, très lumineux, installé à l’emplacement de l’ancien couvent des Ursulines (XVIIe–XVIIIe s.), dont quelques éléments d’architecture ont été intelligemment intégrés dans le nouveau bâtiment. A signaler, l'importante donation d'art moderne de Maurice et Simone Combe. (les n° des pages renvoient au catalogue) Dans le hall d’entrée Daniel Hallé (1614-75) : Le Martyre de St Jean à la Porte Latine. Grande composition. Joseph Chinard (1756-1813) : La Mort de Desaix. Marbre (inachevé). (p. 38) Salles du XVIe s. Astor Beninus (16e) : Mise au tombeau. Bronzino (1577-1621) : Portrait de jeune homme. Il ne s’agit pas du célèbre peintre. Gillis van Valkenborsch (1570-1622) : Le Festin de Balthazar. Scène nocturne traitée en clair obscur très contrasté. La table royale, est placée en diagonale ; elle est très éclairée (éclairage fantastique), et entourée de nombreux convives. Cornelis Engelbrechtsz (1468-1533) : La Passion du Christ. Trois scènes sont représentées sur le panneau de bois : A gauche, le Portement de croix ; au centre, la Crucifixion ; à droite, la Mise au tombeau. Michel Coxie (1499-1592) : Christ tenant la croix. Il désigne sa blessure au flanc droit. Maître au monogramme P.V.M. : St Jérôme en méditation. ^Le Maître du fils prodigue (milieu 16e) : La Parabole du Festin. D’après un texte de Matthieu. Plusieurs scènes regroupées sur le même panneau. La partie droite est consacrée aux préparatifs du repas (décor de ruines). La partie gauche est consacrée aux jugements du roi, incendie, accueil des « élus », condamnation du « mal vêtu » (dans architecture renaissance). (p. 16) François Clouet (1510-72) (Attr.) : Portrait de femme. Corneille de Lyon (mort en 1574) Atel. : Portrait de Jean d’Albon. Salles du XVIIe.Philippe de Champaigne (1602-74) : Portrait de Vincent Voiture. Belle œuvre. Célèbre poète. Sobre et élégant Vêtement noir sur une chemise blanche. (p. 26) -Ange de l’Annonciation. Superbe. Il tient un lys. Quentin Varin (1570-1634) : Moïse et les Tables de la Loi. Jacques Blanchard (1600-38) : Vierge à l’enfant. Naturel des attitudes. (p. 22) Claude Callot (1620-87) : Le Supplice du bûcher – Le supplice de la roue – Les Pendus. Trois petits tableaux d’après « Les Misères de la guerre » de Jacques Callot. Jean Daret (1615-68) : Conversion de St Paul. Toile très colorée et animée. (p. 28) Simon Vouet (1590-1649) : Mise au tombeau. François Boucher (1703-70) : Les Lavandières. Elles sont rassemblées autour d’une fontaine. (p. 32) Antoine François Callet (1741-1823) : Portrait de Louis XVI en costume de sacre. (p. 34) Série de 12 grandes toiles anonymes (1620-27) représentant « La Folie de Roland », d’après l’Arioste : elles proviennent du château d’Effiat. Angélique apparaît en rêve à Roland – Angélique soignant Médor Angélique fait porter Médor sur le cheval d’un ermite – Roland délivre Zerbin – Roland détruit la fontaine au monogramme – Roland écoute l’histoire des amours d’Angélique et Médor – Les Bergers s’enfuient devant la colère de Roland – Roland abandonne son armement et attaque les bergers – Roland tue les bergers et arrache les arbres – Zerbin et Mandricart veulent s’approprier Durandal. Bernardo Keil, dit Monsu (1624-87) : Femme tenant une corbeille et des pigeons. Clair obscur. Carlo Dolci (1616-86) : Tête de jeune femme. Il Sassoferrato (1609-85) : Vierge de douleur. Visage. Giulio Cesare Procaccini (1574-1625) : Sainte Agathe. Agathe dissimule son sein ensanglanté. St Pierre apparaît et lui propose un médicament pour la guérir. (p. 18) Ascanio Luciani (mort en 1706) : Ruines romaines. Deux pendants. Donato Creti (1671-1749) : Le roi Salomon reçoit la reine de Saba. Donato Creti : Le roi Salomon sacrifiant aux faux dieux. Très grands, très beaux. Nombreux personnages. Federico Trevisani (1656-1746) : Caïn tuant Abel. Maître au monogramme CRA (17e) : Adoration des Bergers. (1648) Antonio Belluci (1654-1726) : Mort de Cléopâtre. Giovanni Martinelli (1610-59) : La Joueuse d’épinette. Une jeune chanteuse fait face à la musicienne (une rose dans les cheveux). Traité en clair obscur. (p. 24) Carlo Cignani (1628-1719) : Flore. Thomas Willeboirts (1614-54) : Mort de Pyrame et Thysbé. David Ryckaert III (1612-61) : Danse des farfadets. Animaux fantastiques. (p. 30) Thomas van der Wilt (1659-1733) : Scène galante. Jan Fyt (1611-61) : Nature morte avec gibier. Beau. David de Koninck (1636-99) : Le Déluge. Une femme allaitant entourée d’animaux. Théodore Rombouts (1597-1637) : L’arracheur de dents. Grande toile avec 9 personnages. Mattheus van Elmont (1623-79) : Intérieur d’auberge. Adriaen Beeldmaker (1626-1701) : Deux pendants. Nature morte avec chien et gibier. Jan Bloemen (1662-1749) : Paysage d’Italie. Deux pendants. Van de Vliet (1611-75) : Intérieur d ‘église. Petit. Salle des portraits du XVIIIe. Carle van Loo (1705-65) : Portrait de Christine van Loo. Cantatrice célèbre, femme du peintre. François Lemoyne (1688-1737) : Allégorie de la lumière. François Puget (1651-1707) : Portrait de Pierre Puget père. Hyacinthe Rigaud (1659-1743) : Portrait du poète Vincent Voiture. Beau. -Portrait de Louise-Bénédicte de Bourbon-Condé, duchesse du Maine. Joseph-Siffred Duplessis (1725-1802) : Portrait d’Antoine Thomas. (p. 36) J.-Marc Nattier (1685-1766) : Portrait de Mme de Montboisier-Cénillac. Premier étage. XIXe. J.-Baptiste Collet () : L’Enlèvement de Proserpine. Carle Vernet (1758-1836) : Le Passage difficile. L’attelage qui tire la diligence suit une forte oblique du tableau. Chevaux en plein effort. Les murailles d’une forteresse dominent la scène. (p. 42) Christophe-Thomas Degeorge (1786-1854) : Un bel ensemble de toiles néoclassiques. -Autoportrait. Christophe-Thomas Degeorge : La petite Glaneuse auvergnate (1824). Joli portrait d’enfant. (p. 44) -Tête de Bonchamp Mourant - Portrait de jeune homme mélancolique. -Envahissement de l’Assemblée le 1er prairial an III. (1831) Thomas Degeorge : Le Tireur d’épine. Adolescent nu, inspiré du « Spinario » du musée Capitolin. -Eliezer et Nephtalie – Portrait de Charlotte Corday. Grisaille. -Oenone refusant de guérir Pâris – Diagoras porté en triomphe par ses fils. Ulysse et Télémaque poursuivant les prétendants de Pénélope (1812) Thomas Degeorge : La Mort d’Archimède. -Portrait d'Antoine Blatin (acquisition 2007) Et six petites esquisses préparatoires dont celle de « Diagoras ». Henri-François Mulard (1769-1850) : Les Reproches d’Hector à Pâris (1819). commande du roi pour Trianon Alexandre-Evariste Fragonard (1780-1850) : Don Juan, Zerlina et Donna Elvira, de Mozart. Scène 10 de l’Acte I. (p. 46) Joseph Bauer (1759- ?) : La Mort de Patrocle. Comme d’habitude, Briséis éplorée. J.-Baptiste Lallemand (1710-1805) : Repas de Noce. Joseph Vernet (1714-89) : Marine. Clair de lune. Jacques Gamelin (1738-1803) : Incendie d’un monastère. Scène nocturne. Julien de Parme (1735-1800) : Virgile lisant l’Enéide. Jean-Victor Schnetz (1797-) : La Diseuse de bonne aventure. La bohémienne semble être le même modèle que pour une œuvre de Géricault (« La vieille italienne », Le Havre), et pour deux toiles d’Orléans (Léon Cogniet). (p. 40) Deuxième étage. Salle des sculptures. Belle salle lumineuse. Charles Beylard (1843-1925) : Méléagre. Bronze. Jeune homme nu debout. Francisque Joseph Duret (1804-65) : Mercure inventant la Lyre. Plâtre grandeur nature. François Mouly (1846-86) : Faune dansant. Bronze inspiré du petit bronze de Pompéi. Beau nu grandeur nature.Georges Diebolt (1816-61) : Héro et Léandre. Marbre.Henri Gourgouillon (1858-1902) : Figure pour un tombeau. Jeune garçon nu. Plâtre.Frédéric-Auguste Bartholdi (1834-1905) : Vercingétorix victorieux. Maquette en plâtre du monument à Vercingétorix, statue équestre qui se trouve sur la place de Jaude à Clermont (1902). Peintures dans la salle des sculpturesFrançois Ehrmann (1833-1910) : Vercingétorix appelle les Gaulois à la défense d’Alésia (1869). Debout, Triomphant. Théodore Chassériau (1819(56) : La Défense des Gaules. Très grande composition dense et dynaùique, de nombreux personnages. Plusieurs études préparatoires. (p. 52) Prosper Marilhat (1811-47) : Paysage d’Egypte au soleil couchant. (p. 48) J.-Baptiste Regnault (1754-1829) : Mort de Desaix à Marengo. Grande composition. Etude à Riom. Louis Devedeux (1820-75) : Le général Desaix en Egypte. Portrait en pied. Guillaume Dubufe (1853-1909) : Ste Cécile. Sur un trône. Knud Baade (1808-79) : Soleil de minuit sur l’île d’Hestman en Norvège. J.-Baptiste de Jonghe (1785-1844) : Vue de Suisse. Henri Delacroix-Cross (1856-1910) : Lutte pour la vie. Naufrage. Un groupe d’hommes jettent d’autres naufragés nus hors d’une embarcation. Eugène Devéria (1805-65) : Réception de Christophe Colomb par Ferdinand et isabelle. Grande composition. Louis Leloir (1843-84) : La Lutte de Jacob avec l’Ange (1865). Edouard Bernard Debat-Ponsan (1847-1915) : Une Porte du Louvre le matin de la St Barthélémy. La reine, accompagnée de courtisans, contemple les cadavres étendus autour d’elle. (1889) Pierre François Eugène Giraud (1806-81) : Le Fiévreux dans la campagne romaine. Orientalistes Prosper Marilhat (1811-47) : 8 œuvres. Paysage d’Orient - Entrée du Bosphore – Port oriental – Caravane – Halte d’arabes près de ruines - etc. Narcisse Berchère (1819-91) : Fontaine en Orient. Francesco Fanelli () : Eliézer et Rébecca. Henri Hesse (1781-1849) : Portrait de jeune garçon. Louis Riesener (1808-78) : Portrait de Prosper Marilhat. Chhristophe-Thomas Degeorge : Le Faucheur et la Jeune Fille – Paysanne assise. Achille Mouret () : Nature morte aux prunes. François Bonvin (1817-87) : Deux brodeuses. Clair obscur. Thomas Couture (1815-79) : Baudelaire et la présidente Sabatier. Toile érotique. Femme nue dans les bras du poète. (p. 50) Camille Corot – N. Diaz de la Peña – Ary Scheffer (esquisse). Théodore Gudin (1802-80) : Marine. Jean Bertin (1767-1842) : Château fort d’Italie.Gustave Doré (1832-83) : Paysage.Gustave Doré : Les Saltimbanques. La mère, qui porte une robe bleue, tient dans ses bras son enfant, au crâne ensanglanté. Nombreux détails pittoresques. (p. 54) Henri de Waroquier – Dans la chapelle. Joseph Vien (1716-1809) : Hélène poursuivie par Enée. Salles du XXe s. Rebeyrolle – Jean Le Gac – Roland Cognet (grandes xylographies). La collection d’art moderne est composée en grande partie par la donation Maurice et Simone Combe (peintres de l’école de Paris) : Bernard Buffet : 9 œuvres. Nature morte aux allumettes - La Raie (p. 62) - etc. Portrait de Maurice Combe (1950) Bernard Buffet : Portrait de Simone Combe (1953) Jean Aujame (2 oeuvres) - Jean Carzou (6 oeuvres) - Antoni Clavé (10 oeuvres) - André Cottavoz – Gabriel Dauchot (2) – Jean Fautrier (« Bouquet de Marguerites ») – Othon Friesz (2) - Edouard Goerg (25) – Marcel Gromaire (2 aquarelles) - Jean Jansem (3) – Moïse Kisling (2) – Marie Laurencin (3) – André Marchand (5) – Gen Paul (5) – Gaston Sébine (3) – Charles Walch (5) – etc. François Desnoyer : Les Baigneuses. Une section d’art graphique (environ 5 000 œuvres) : lithos, sérigraphies, gravures (Pablo Picasso). Novembre 2016 - Une nouvelle acquisition : Anne-Louis Girodet de Roussy-Trioson (1767-1824) : Portrait de Prosper de Barante (1814). Préempté
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A background history on "Beauty at the Well" by the French Academic and Neoclassical artist,
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Boy reading, 1921 Seated woman reading Boy reading Samuel John Peploe born January 27, 1871 in Edinburgh, UK died October 11, 1935 (64) in Edinburgh, UK more: Wikipedia BBC your paintings Tate Artnet Google pictures
Henri Matisse- Pont Saint-Michel 1900
Museum Gouda has an opening for a curator. The museum specializes in religious art of the 16th century, the “Haagse school” of the 19th century and Gouds plateel (pottery) of the 20th century. The collection comprises remarkable altar pieces, which survived the iconoclasm, life-sized sketches for stained glass windows and group portraits of civil guards...
Louis Valtat [1869-1952] was born in Dieppe on 8 August, 1869. He studied at le Lycée Hoche in Versailles where his parents lived. In 1886, when he was 17 years old, he applied for admission at the Ecole des Beaux Arts and completed his training at the Académie Julian where he made friends with Albert André and Pierre Bonnard. In 1890, he won the Jauvin d’Attainville prize; he then set up his workshop at rue de La Glacière in Paris.
Offered on 22 July at Christie’s in London, a superb collection of furniture, decorative arts, sculpture, paintings, jewellery, prints and works on paper